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Artiste
pluridisciplinaire, Latefa Ahrrare prépare un
nouveau spectacle intitulé
«Le pianiste».
La comédienne s'est confiée à Libé dans un entretien express.
Libé : Quel commentaire vous inspire le retrait des salles de cinéma du long métrage « Le film » ?
Latefa Ahrare : Je suis contre toute forme de censure quelle qu'en soit la raison. Je suis de ceux et celles qui pensent que c'est au seul public de choisir d’aller ou non au cinéma.
Parce que je trouve aberrant de prendre des décisions à la place du public et du créateur. Il faut laisser vivre la création, lui donner le temps de s'épanouir et laisser le public décider par lui-même.
Il y a eu un film marocain à l'ouverture comme à la clôture du FIFM. Faut-il y voir un clin d'œil au 7ème Art marocain ?
C'est une excellente initiative que d'avoir un film marocain à l'ouverture comme à la clôture. Cela dit, cela ne m'aurait pas dérangée si un film américain ou indien avait été programmé à la place. Tout simplement parce que le cinéma n'a ni frontière ni nationalité. Je ne considère pas qu'un film est cinématographique tout simplement parce qu'il est marocain. Non, il doit s'inscrire dans la dynamique du cinéma, de l'art et de l'universalité.
Quelle est votre actualité ?
Mis à part ma pièce «Capharnaüm», qui reste d'actualité, je prépare un nouveau spectacle qui s'intitule «Le pianiste». Il s'agit à la base d'un texte écrit par une Saoudienne. C'est donc une première que le public aura l'occasion d'apprécier au moment opportun. Par ailleurs, je prépare aussi d'autres films.
pluridisciplinaire, Latefa Ahrrare prépare un
nouveau spectacle intitulé
«Le pianiste».
La comédienne s'est confiée à Libé dans un entretien express.
Libé : Quel commentaire vous inspire le retrait des salles de cinéma du long métrage « Le film » ?
Latefa Ahrare : Je suis contre toute forme de censure quelle qu'en soit la raison. Je suis de ceux et celles qui pensent que c'est au seul public de choisir d’aller ou non au cinéma.
Parce que je trouve aberrant de prendre des décisions à la place du public et du créateur. Il faut laisser vivre la création, lui donner le temps de s'épanouir et laisser le public décider par lui-même.
Il y a eu un film marocain à l'ouverture comme à la clôture du FIFM. Faut-il y voir un clin d'œil au 7ème Art marocain ?
C'est une excellente initiative que d'avoir un film marocain à l'ouverture comme à la clôture. Cela dit, cela ne m'aurait pas dérangée si un film américain ou indien avait été programmé à la place. Tout simplement parce que le cinéma n'a ni frontière ni nationalité. Je ne considère pas qu'un film est cinématographique tout simplement parce qu'il est marocain. Non, il doit s'inscrire dans la dynamique du cinéma, de l'art et de l'universalité.
Quelle est votre actualité ?
Mis à part ma pièce «Capharnaüm», qui reste d'actualité, je prépare un nouveau spectacle qui s'intitule «Le pianiste». Il s'agit à la base d'un texte écrit par une Saoudienne. C'est donc une première que le public aura l'occasion d'apprécier au moment opportun. Par ailleurs, je prépare aussi d'autres films.










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