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La pratique de la méditation a réduit de 48% les risques de crise cardiaque et d’attaque cérébrale chez un échantillon d’adultes noirs américains obèses souffrant de maladies cardio-vasculaires par rapport à un groupe témoin, selon une étude publiée mardi aux Etats-Unis.
Les patients ayant eu recours à la méditation ont également vu leur tension artérielle baisser, leur niveau de stress diminuer et se sont sentis dans l’ensemble plus sereins, soulignent les auteurs de cette recherche parue dans Circulation, la revue de l’American Heart Association.
Ces derniers précisent que le taux de mortalité due à des maladies cardio-vasculaires est deux fois plus élevé chez les adultes noirs aux Etats-Unis que chez les Blancs. Or, plus ces patients ont pratiqué régulièrement la méditation, plus grande a été leur survie.
“Il semblerait que la méditation transcendantale soit une technique qui permette de mobiliser les ressources de l’organisme pour +s’auto-réparer+ et améliorer sa santé”, relève le Dr Robert Schneider, de l’Institut de médecine naturelle et de prévention à Fairfield dans l’Iowa (centre), qui a dirigé ces travaux.
Pour l’étude, les chercheurs ont sélectionné 201 Afro-Américains au hasard souffrant de maladies cardiovasculaires pour suivre un programme de méditation.
Ils ont également choisi un nombre équivalent de patients qui ont suivi un régime alimentaire et fait de l’exercice pour perdre du poids et réduire leur tension artérielle.
L’indice moyen de masse corporelle (poids divisé par la taille au carré) des participants était d’environ 32, cliniquement considéré comme de l’obésité.
Près de 60% dans les deux groupes prenaient des médicaments pour diminuer leur taux de cholestérol.
De plus, 41% de ceux qui ont suivi les exercices de méditation et 31% des patients du groupe témoin prenaient de l’aspirine régulièrement ce qui, ont montré des études, réduit le risque cardiaque.
Pour méditer les participants s’asseyaient les yeux fermés pendant environ 20 minutes deux fois par jour.
Les chercheurs ont évalué les participants au début de l’étude, trois mois après, puis tous les six mois durant plus de cinq ans, évaluant leur indice de masse corporelle, leur tension artérielle et le nombre d’hospitalisations.
Les patients ayant eu recours à la méditation ont également vu leur tension artérielle baisser, leur niveau de stress diminuer et se sont sentis dans l’ensemble plus sereins, soulignent les auteurs de cette recherche parue dans Circulation, la revue de l’American Heart Association.
Ces derniers précisent que le taux de mortalité due à des maladies cardio-vasculaires est deux fois plus élevé chez les adultes noirs aux Etats-Unis que chez les Blancs. Or, plus ces patients ont pratiqué régulièrement la méditation, plus grande a été leur survie.
“Il semblerait que la méditation transcendantale soit une technique qui permette de mobiliser les ressources de l’organisme pour +s’auto-réparer+ et améliorer sa santé”, relève le Dr Robert Schneider, de l’Institut de médecine naturelle et de prévention à Fairfield dans l’Iowa (centre), qui a dirigé ces travaux.
Pour l’étude, les chercheurs ont sélectionné 201 Afro-Américains au hasard souffrant de maladies cardiovasculaires pour suivre un programme de méditation.
Ils ont également choisi un nombre équivalent de patients qui ont suivi un régime alimentaire et fait de l’exercice pour perdre du poids et réduire leur tension artérielle.
L’indice moyen de masse corporelle (poids divisé par la taille au carré) des participants était d’environ 32, cliniquement considéré comme de l’obésité.
Près de 60% dans les deux groupes prenaient des médicaments pour diminuer leur taux de cholestérol.
De plus, 41% de ceux qui ont suivi les exercices de méditation et 31% des patients du groupe témoin prenaient de l’aspirine régulièrement ce qui, ont montré des études, réduit le risque cardiaque.
Pour méditer les participants s’asseyaient les yeux fermés pendant environ 20 minutes deux fois par jour.
Les chercheurs ont évalué les participants au début de l’étude, trois mois après, puis tous les six mois durant plus de cinq ans, évaluant leur indice de masse corporelle, leur tension artérielle et le nombre d’hospitalisations.