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Le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris a également ordonné au Nouvel Observateur, qui avait publié jeudi des bonnes feuilles de cet ouvrage, de diffuser sur sa prochaine «une» la mention de cette condamnation.
L’ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI), qui dénonçait une machination à des fins mercantiles, «est très satisfait de cette décision», a déclaré sur BFM TV l’un de ses avocats, Me Henri Leclerc.
Ses conseils, qui avaient assigné lundi l’éditeur et l’auteur du livre ainsi que l’hebdomadaire, se sont également réjouis de cette décision de justice, qui va différer la publication de «Belle et bête».
L’auteur du livre, Marcela Iacub, juriste et chercheuse d’origine argentine, ainsi que l’éditeur Stock, ont été condamnés à payer 50.000 euros de dommages et intérêts à l’ancien ministre des Finances. Le Nouvel Observateur a été condamné à lui verser 25.000 euros de dommages et intérêts.
Dominique Strauss-Kahn s’était rendu en personne mardi au tribunal pour dénoncer, devant la juge des référés, «le caractère méprisable de ce texte». A la sortie de l’audience, il s’était dit «complètement dégoûté».
L’un des avocats de l’ancien patron du FMI, Me Jean Veil, a dénoncé une tromperie de la part de Marcela Iacub.
Les conseils de «DSK» avaient produit en audience un courriel de Marcela Iacub dans lequel cette dernière confiait à son ancien amant «avoir servi d’instrument pour lui nuire.» «Je me suis laissée entraînée dans un projet. Il m’a fallu te faire croire que j’étais éprise de toi, folle de toi, je suis désolée», écrivait-elle.