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L’ostréiculture constitue une activité phare de la lagune. Cette activité lui assure une réputation internationale. Les touristes, aussi bien nationaux qu’étrangers, sont autant attirés par les plages locales que par la consommation des huîtres produites localement.
L’ostréiculture est pratiquée par neuf parcs et emploie environ une centaine de personnes regroupant des permanents et des occasionnels.
La production moyenne annuelle en huîtres tourne autour de 170 tonnes environ. Le chiffre d’affaires est estimé à 4,4 millions de dirhams. La commercialisation vise essentiellement le marché local et national.
L’espèce conchylicole principale élevée dans la lagune est représentée par l’huître japonaise (crassostrea gigas). C’est un coquillage bivalve filtreur appartenant à la famille des ostréidés. Elle se nourrit de particules en suspension, composées essentiellement d’algues microscopiques (phytoplancton).
Il faut souligner, que cette espèce d’ostréidés a été introduite dans la lagune vers la fin des années 60. Elle s’est rapidement adaptée aux conditions locales et a montré de très bonnes performances zootechniques en élevage. Ainsi l’ostréiculture locale demeure tributaire de l’importation des naissains de l’étranger.
L’ostréiculture est pratiquée par neuf parcs et emploie environ une centaine de personnes regroupant des permanents et des occasionnels.
La production moyenne annuelle en huîtres tourne autour de 170 tonnes environ. Le chiffre d’affaires est estimé à 4,4 millions de dirhams. La commercialisation vise essentiellement le marché local et national.
L’espèce conchylicole principale élevée dans la lagune est représentée par l’huître japonaise (crassostrea gigas). C’est un coquillage bivalve filtreur appartenant à la famille des ostréidés. Elle se nourrit de particules en suspension, composées essentiellement d’algues microscopiques (phytoplancton).
Il faut souligner, que cette espèce d’ostréidés a été introduite dans la lagune vers la fin des années 60. Elle s’est rapidement adaptée aux conditions locales et a montré de très bonnes performances zootechniques en élevage. Ainsi l’ostréiculture locale demeure tributaire de l’importation des naissains de l’étranger.
