
-
Moult visas refusés et toute une manne encaissée
-
Abderrahim Chahid : Dans une tentative pathétique de dissimuler des années d’échec, le PJD pousse le mensonge jusqu’à gober ses propres leurres
-
Les Marocains du monde ne constituent pas un simple prolongement géographique ou démographique, mais une force intellectuelle, politique et sociale qui contribue à renforcer l’image du Maroc et à le défendre
-
Canicule précoce
Intervenant à cette occasion, le président de l’INPPLC, Mohamed Benalilou, a estimé que cet exercice "constitue un élément central dans la consolidation de la culture de la transparence et le renforcement de l’efficacité collective face au fléau de la corruption", indique un communiqué de l'Instance.
Selon la même source, M. Benalilou a ajouté que cette rencontre est une opportunité idoine pour "présenter le modèle marocain dans la gestion des questions impliquant une pluralité d’intervenants et une divergence de points de vue, ainsi que pour tester notre capacité collective à coordonner l’action commune".
Il a également affirmé que la lutte contre la corruption n’est pas une responsabilité sectorielle ou institutionnelle, mais bien une responsabilité nationale collective, où chaque composante joue un rôle complémentaire dans un engagement basé sur la détermination, la sincérité et l'implication.
De même, le président de l’INPPLC a relevé que "l’examen de ce processus n’est pas une finalité en soi, mais une occasion pour redéfinir les priorités, corriger les process et développer des politiques qui prennent en compte les questions de probité, de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption.
Cette rencontre, a-t-il poursuivi, constitue "un moment de mobilisation collective afin d’exprimer une conviction fondamentale, à savoir que l’engagement du Maroc dans ce chantier continental est volontaire et souverain et illustre la volonté du pays d’honorer ses engagements à l’échelle continentale vis-à-vis des dispositions de la Convention africaine, mais aussi une réponse au besoin national d’évaluer la compatibilité de notre système avec les standards internationaux et régionaux y afférents".
Par ailleurs, M. Benalilou a appelé à un engagement global, responsable et transparent pour réussir cet examen, précisant que la présentation de données précises et claires incarne, "notre volonté d’élaborer un rapport national conjoint qui reflète l’effort collectif du Maroc dans la lutte contre la corruption et son engagement au niveau continental".
En outre, il a exhorté l’ensemble des partenaires à faire de cet examen une occasion de renforcer le front national intérieur contre la corruption, d’unifier les efforts et de mettre en avant le leadership marocain au niveau continental, en termes d’engagement, d’impact et de résultats.