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Journaliste et sélectionneur !Lundi 21 Avril 2014
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Déjà, une gaffe fédérale. Impliquer le corps des journalistes dans le choix du nouveau sélectionneur du Onze national serait, pour le moins, une option des plus farfelues. Aussitôt investi dans son poste de président de la FRMF, Fawzi Lekjaa et son équipe se montrent décidés à rattraper le temps perdu et surtout plaire à tout le monde. Et parmi les gens que les nouveaux fédéraux cherchent à caresser dans le sens du poil: Les journalistes. L’on a voulu les impliquer dans le choix du nouvel entraîneur de l’équipe du Maroc et ce, en sollicitant les services des présidents des quatre associations de la presse sportive marocaine. Sauf que l’une d’entre elles, la Rabita (AMJS) s’entend, a décidé de ne pas rejoindre la commission qui décidera de l’identité du nouveau sélectionneur. Ce que les fédéraux sont censés savoir, c’est que le choix des présidents desdites associations n’engage qu’eux-mêmes et aucunement les journalistes qui adhèrent aux corporations du métier. D’autant plus que le journaliste n’a pas sa place dans une commission technique devant trancher dans la désignation du sélectionneur qui devra conduire l’équipe du Maroc en Coupe d’Afrique des nations prévue en janvier-février 2015 au Maroc. La mission du journaliste consiste à informer, puis analyser et commenter. Lui faire porter une casquette qui ne lui sied guère, cela risque de fausser la donne, voire l’amener à se tenir à carreau si les choses tournent mal. Du fait que le bonhomme a été impliqué dans le choix du staff technique de l’équipe nationale, autrement dit, il doit assumer pleinement ses responsabilités en cas d’échec. Le journaliste est, certes, une partie prenante dans le système mais pas au point de lui endosser une tâche qui ne peut être la sienne. Celle du choix du sélectionneur ne peut être effectuée que par des techniciens, cadres, anciens joueurs, dirigeants, qui sont censés connaître mieux que quiconque le football national. Quant au journaliste, il doit s’atteler à la tâche qui y est la seinne.
Mohamed Bouarab
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