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Obama
Personne n’y échappera, pas même Barack Obama. Il verra le nouveau “Star Wars”. Le président américain a-t-il vu “Episode VII: Le Réveil de la force”, nouvel opus de la saga-phénomène ? La question a fusé au milieu du briefing quotidien de la Maison Blanche, traditionnellement consacré à des sujets plus politiques ou diplomatiques.
“Je ne lui ai pas demandé et je ne sais pas s’il l’a vu. Mais je suis persuadé que le président verra le film, à un moment ou à un autre”, a répondu, amusé, son porte-parole Josh Earnest.
M. Obama, qui est le premier président américain à être né dans les années 1960, n’avait que 16 ans lorsque le premier des sept films de “La Guerre des Etoiles” est sorti.
En mars 2013, il avait tenté une référence originale à l’univers de George Lucas pour décrire son impuissance à persuader les républicains de céder sur le budget: “Je sais que la sagesse populaire à Washington dit que (...) je devrais essayer d’appliquer la méthode mentale des Jedi sur ces gens pour les convaincre”, avait-il plaisanté.
Dans le monde de “La Guerre des Etoiles”, les chevaliers Jedi sont doués de pouvoirs singuliers. Mais certains observateurs avertis avaient relevé que le président de la première puissance mondiale avait peut-être confondu ces pouvoirs avec ceux de “fusion mentale” mentionnés dans un autre univers de science-fiction, celui de “Star Trek”.
“Je ne lui ai pas demandé et je ne sais pas s’il l’a vu. Mais je suis persuadé que le président verra le film, à un moment ou à un autre”, a répondu, amusé, son porte-parole Josh Earnest.
M. Obama, qui est le premier président américain à être né dans les années 1960, n’avait que 16 ans lorsque le premier des sept films de “La Guerre des Etoiles” est sorti.
En mars 2013, il avait tenté une référence originale à l’univers de George Lucas pour décrire son impuissance à persuader les républicains de céder sur le budget: “Je sais que la sagesse populaire à Washington dit que (...) je devrais essayer d’appliquer la méthode mentale des Jedi sur ces gens pour les convaincre”, avait-il plaisanté.
Dans le monde de “La Guerre des Etoiles”, les chevaliers Jedi sont doués de pouvoirs singuliers. Mais certains observateurs avertis avaient relevé que le président de la première puissance mondiale avait peut-être confondu ces pouvoirs avec ceux de “fusion mentale” mentionnés dans un autre univers de science-fiction, celui de “Star Trek”.
Poursuite
Un Californien a été poursuivi pour agression, accusé d’avoir donné des coups de poings dans la tête et d’avoir étranglé une femme assise devant lui dans l’avion parce qu’elle avait abaissé son dossier.
Lawrence Wells, 54 ans, originaire de Richmond en Californie, risque jusqu’à dix ans de prison.
L’incident a eu lieu le 18 octobre sur un vol Southwest Airlines entre Los Angeles et San Francisco. Selon des témoins, M. Wells est devenu violent après que la victime, décrite uniquement par ses initiales M. D. dans l’acte d’accusation, a reculé son dossier.
“Environ 10 minutes après le décollage, le pilote de l’avion a déclaré qu’il allait faire un atterrissage d’urgence et est retourné à l’aéroport de Los Angeles International où les forces de l’ordre (...) sont intervenues”, a déclaré la police fédérale (FBI) dans un communiqué.
Une porte-parole du FBI a expliqué à l’AFP que la victime avait souffert d’un traumatisme crânien.
Lawrence Wells, 54 ans, originaire de Richmond en Californie, risque jusqu’à dix ans de prison.
L’incident a eu lieu le 18 octobre sur un vol Southwest Airlines entre Los Angeles et San Francisco. Selon des témoins, M. Wells est devenu violent après que la victime, décrite uniquement par ses initiales M. D. dans l’acte d’accusation, a reculé son dossier.
“Environ 10 minutes après le décollage, le pilote de l’avion a déclaré qu’il allait faire un atterrissage d’urgence et est retourné à l’aéroport de Los Angeles International où les forces de l’ordre (...) sont intervenues”, a déclaré la police fédérale (FBI) dans un communiqué.
Une porte-parole du FBI a expliqué à l’AFP que la victime avait souffert d’un traumatisme crânien.