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Photo historique
S’il pense un jour à écrire ses mémoires, le président des Comores, Ikililou Dhoinine devrait consacrer un chapitre entier au photobomb. Depuis lundi et l’ouverture de la Cop21au Bourget, il semble en effet passé maître dans l’art de gâcher une photo en y incrustant une image totalement hors de propos. En l’occurrence, la sienne.
Il n’y a rien de personnel dans cette histoire, mais il faut bien se rendre à l’évidence, le chef d’Etat comorien a gâché à son insu une poignée de main entre Mahmoud Abbas et Benyamin Netanyahu, le chef de l’autorité palestinienne et celui d’Israël. L’événement est assez rare puisque les deux hommes ne s’étaient pas salués depuis 2010. Avec le visage de l'invité surprise, la poignée de main n'est même pas visible. Evidemment, depuis lundi soir, la scène est parodiée à l'infini par les Internautes.
S’il pense un jour à écrire ses mémoires, le président des Comores, Ikililou Dhoinine devrait consacrer un chapitre entier au photobomb. Depuis lundi et l’ouverture de la Cop21au Bourget, il semble en effet passé maître dans l’art de gâcher une photo en y incrustant une image totalement hors de propos. En l’occurrence, la sienne.
Il n’y a rien de personnel dans cette histoire, mais il faut bien se rendre à l’évidence, le chef d’Etat comorien a gâché à son insu une poignée de main entre Mahmoud Abbas et Benyamin Netanyahu, le chef de l’autorité palestinienne et celui d’Israël. L’événement est assez rare puisque les deux hommes ne s’étaient pas salués depuis 2010. Avec le visage de l'invité surprise, la poignée de main n'est même pas visible. Evidemment, depuis lundi soir, la scène est parodiée à l'infini par les Internautes.
Acheter du rien
Combien vaut du rien ? Cinq dollars, selon plus de 11.000 personnes, qui ont payé une entreprise lors de «Black Friday» et n’ont rien reçu en échange. «Lors de Black Friday, beaucoup d’entreprises vous promettent quelque chose pour rien. Nous sommes la seule entreprise à vous offrir du rien pour quelque chose », annonçait Cards Against Humanity, une entreprise derrière un jeu de société sarcastique. Lors du paiement, un message d’avertissement clarifiait la transaction, histoire d’éviter les poursuites judiciaires : « Je comprends que je paie Cards Against Humanity cinq dollars et ne recevrai rien en retour ».
L’entreprise a au total gagné plus de 70.000 dollars, pour la marge la plus élevée de l’histoire. Et les 17 salariés, qui ont par le passé levé plus de 4 millions de dollars pour la bonne cause, ont cette fois (presque) tout gardé.
Ils ont acheté 300 kilos de litière pour chat, un iPad Pro, deux Playstation, un Macbook Pro, une voiture d’occasion et plusieurs billets d’avion. Individuellement, ils ont quand même donné environ un tiers de la somme à des associations, soit un peu plus de 20.000 dollars. La leçon, elle, n’a pas de prix : dans notre société de consommation, tout s’achète, même du rien.
Combien vaut du rien ? Cinq dollars, selon plus de 11.000 personnes, qui ont payé une entreprise lors de «Black Friday» et n’ont rien reçu en échange. «Lors de Black Friday, beaucoup d’entreprises vous promettent quelque chose pour rien. Nous sommes la seule entreprise à vous offrir du rien pour quelque chose », annonçait Cards Against Humanity, une entreprise derrière un jeu de société sarcastique. Lors du paiement, un message d’avertissement clarifiait la transaction, histoire d’éviter les poursuites judiciaires : « Je comprends que je paie Cards Against Humanity cinq dollars et ne recevrai rien en retour ».
L’entreprise a au total gagné plus de 70.000 dollars, pour la marge la plus élevée de l’histoire. Et les 17 salariés, qui ont par le passé levé plus de 4 millions de dollars pour la bonne cause, ont cette fois (presque) tout gardé.
Ils ont acheté 300 kilos de litière pour chat, un iPad Pro, deux Playstation, un Macbook Pro, une voiture d’occasion et plusieurs billets d’avion. Individuellement, ils ont quand même donné environ un tiers de la somme à des associations, soit un peu plus de 20.000 dollars. La leçon, elle, n’a pas de prix : dans notre société de consommation, tout s’achète, même du rien.