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Technologie
Otis Johnson avait 25 ans lorsqu'il a été placé derrière les barreaux pour une tentative de meurtre sur un policier. Aujourd'hui, l'américain est sorti de prison et désormais âgé de 69 ans. 44 années après son incarcération, le monde extérieur lui donnerait presque l'impression d'être sur une autre planète.
La technologie a laissé pantois Otis Johnson et notamment les iPhones et leurs kits mains libres. Le vieux monsieur avait du mal à croire que les gens "parlent tout seul". Les vidéos projetées sur les vitres en verre de New York, les téléphones portables, mais aussi le choix énorme dans les supermarchés l'ont déstabilisé. "C'est si difficile de choisir", explique Otis dans un témoignage touchant.
Otis Johnson avait 25 ans lorsqu'il a été placé derrière les barreaux pour une tentative de meurtre sur un policier. Aujourd'hui, l'américain est sorti de prison et désormais âgé de 69 ans. 44 années après son incarcération, le monde extérieur lui donnerait presque l'impression d'être sur une autre planète.
La technologie a laissé pantois Otis Johnson et notamment les iPhones et leurs kits mains libres. Le vieux monsieur avait du mal à croire que les gens "parlent tout seul". Les vidéos projetées sur les vitres en verre de New York, les téléphones portables, mais aussi le choix énorme dans les supermarchés l'ont déstabilisé. "C'est si difficile de choisir", explique Otis dans un témoignage touchant.
14 min
en avion
Les deux villes ne sont distantes que de 160 kilomètres. Pourtant, les joueurs d'Arsenal (Londres) ont pris l'avion le week-end dernier pour aller affronter Norwich City . Soit un trajet de 14 minutes. Un choix étonnant que l’entraîneur des "Gunners", Arsène Wenger, a justifié par des problèmes de circulation: "Parfois, l'accès à Norwich est difficile, donc nous avons décidé de prendre l'avion, ce que l'on ne fait pas souvent".
en avion
Les deux villes ne sont distantes que de 160 kilomètres. Pourtant, les joueurs d'Arsenal (Londres) ont pris l'avion le week-end dernier pour aller affronter Norwich City . Soit un trajet de 14 minutes. Un choix étonnant que l’entraîneur des "Gunners", Arsène Wenger, a justifié par des problèmes de circulation: "Parfois, l'accès à Norwich est difficile, donc nous avons décidé de prendre l'avion, ce que l'on ne fait pas souvent".