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L’armée thaïlandaise a décidé de recruter une trentaine de personnes emprisonnées pour des délits de fabrication illégale d’armes à feu.
Dans le cadre d’un projet pilote de réinsertion des prisonniers, l’armée a offert 33 postes de techniciens dans ses rangs à des détenus qui purgent diverses peines de prison pour fabrication ou modification illégale d’armes à feu, a déclaré le ministre thaïlandais de la Justice cité lundi par la presse.
Capitalisant sur leurs connaissances en matière de manutention des armes à feu, l’armée prodiguera une brève formation aux détenus avant leur intégration dans ses rangs.
Le directeur de l’administration pénitentiaire, Narat Sawetanant, a relevé qu’une telle initiative constitue un modèle à suivre pour la réinsertion des détenus et le désengorgement des prisons en surpopulation carcérale et en manque de personnel.
Les prisons en Thaïlande comptent 320.000 prisonniers pour 14.000 fonctionnaires, dont seulement 1.300 gardiens. Le problème de la surpopulation carcérale et les récidives représentent un véritable défi qui a poussé les autorités thaïlandaises à envisager le système des peines alternatives et des programmes de réinsertion.
Dans le cadre d’un projet pilote de réinsertion des prisonniers, l’armée a offert 33 postes de techniciens dans ses rangs à des détenus qui purgent diverses peines de prison pour fabrication ou modification illégale d’armes à feu, a déclaré le ministre thaïlandais de la Justice cité lundi par la presse.
Capitalisant sur leurs connaissances en matière de manutention des armes à feu, l’armée prodiguera une brève formation aux détenus avant leur intégration dans ses rangs.
Le directeur de l’administration pénitentiaire, Narat Sawetanant, a relevé qu’une telle initiative constitue un modèle à suivre pour la réinsertion des détenus et le désengorgement des prisons en surpopulation carcérale et en manque de personnel.
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