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			 Depuis Athènes où il est en visite, le président français François Hollande a annoncé la mort d'un sergent de la Légion étrangère dans un "accrochage sérieux" dans le nord du pays au cours duquel ont été également tués "plus d'une vingtaine" d'islamistes armés, selon l'état-major de l'armée française.
Le sergent-chef Harold Vormezeele, 33 ans, était d'origine belge, naturalisé français en 2010, et s'était engagé dans la Légion étrangère en février 1999, selon les éléments fournis par le ministère de la Défense.
Il s'agit du deuxième militaire français tué depuis le début de l'intervention française au Mali le 11 janvier. Interrogé par des médias français, M. Hollande a expliqué que ces combats meurtriers étaient intervenus lors d'une opération des forces spéciales, lancée lundi et encore en cours, dans le massif montagneux des Ifoghas, près de la frontière algérienne.
Au même moment à Paris, le Premier ministre malien Diango Cissoko évoquait la fin "des opérations militaires d'envergure" dans son pays. "Reste la sécurisation des zones libérées", a déclaré M. Cissoko lors d'une conférence de presse conjointe avec le chef de la diplomatie française Laurent Fabius.
Plus de 5.000 soldats africains appelés à prendre le relais des forces françaises et à sécuriser les villes sont désormais déployés sur le sol malien, selon Paris.
Le Premier ministre malien a également évoqué le processus démocratique au Mali, rappelant que Bamako avait prévu d'organiser des élections au plus tard le 31 juillet.
Le dialogue politique entre Bamako et les populations du nord délaissé font partie des exigences de la communauté internationale, tout comme la restauration d'un pouvoir légitime à Bamako, où le gouvernement est issu d'un putsch survenu en avril 2012.

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