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Il est temps de mettre terme à cette situation de prévarication qui ne devrait pas être vécue comme une fatalité par l’ensemble des citoyens, s’est indignée cette native de Salé. Elle qui est revenue à son lieu de naissance fermement décidée à lutter contre ce genre de pratiques et à débarrasser sa ville de la mainmise de cette horde d’intermédiaires qui s’enrichissent aux dépens des plus démunis.
Selon elle, cette ville au passé glorieux devrait retrouver sa grandeur d’antan. Elle qui se trouve dans le sillage de la capitale, se doit d’en être la continuité. La candidate rose va même jusqu’à penser à une stratégie Rabat-Salé afin d’adopter une unité politique. Au lieu de cela, Salé offre une image qui est loin d’être digne d’une aussi grande agglomération. L’absence d’une vraie zone industrielle et de grandes structures administratives la confinent dans le rôle secondaire d’une «cité-dortoir», n’a-t-elle pas manqué de préciser. La condensation de la population, spécialement à Tabriquet, est vraiment déplorable puisqu’elle favorise la prolifération de la délinquance et de l’insécurité.
Les vrais alliés de la candidate du parti de la Rose, elle les compte, selon elle, parmi les Slaouis honnêtes et dignes de confiance qui se refusent à toute transaction quelle qu’elle soit et qui sont imbus de démocratie. «Je ne peux remporter la victoire sans leur appui car seule, il me sera difficile d’accomplir des miracles». Ceux-là peuvent mener loin les valeurs du parti et joueront le rôle de précurseurs afin d’inciter les gens à aller accomplir leur devoir électoral, conclut-elle avec optimisme.