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L’Association Espace
de l’enfant a organisé les 7 et 8 mai
à Errachidia,
un festival dédié
à l’enfance, sous
le thème «Notre
patrimoine culturel, une sauvegarde de notre identité nationale».
Le directeur de cette manifestation répond aux questions de Libé. Entretien.
Libé : Dans quel contexte intervient votre festival?
Zoubir Saghiri : La première édition du Festival de l’enfant au Sud-est entend d’abord célébrer le huitième anniversaire du Prince héritier Moulay El Hassan. Mais à partir de nos préoccupations associatives dans le cadre de l’Association Espace de l’enfant, nous voulons mettre en œuvre la stratégie nationale visant à impliquer l’enfance et la jeunesse dans la consécration des valeurs de la citoyenneté.
Quels sont vos objectifs ?
Rien qu’à voir le signe de cette première édition, en l’occurrence «Notre patrimoine culturel, une sauvegarde de notre identité nationale», l’on comprend mieux nos objectifs qui veulent à la fois préserver ce patrimoine culturel dans ses aspects artistiques (chants, musiques, rythmes …) et traditions, coutumes et mœurs de la région (mariage, contes, légendes…). Rien ne pourra aider à la conservation du patrimoine culturel si l’enfance n’y est pas impliquée, car cela relève des programmes de socialisation. En deuxième lieu, nous visons à contribuer à la réalisation des stratégies nationales en la matière.
Quels sont les meilleurs moments de cette manifestation?
Il s’agit d’un festival national, et partant, l’existence d’une panoplie de troupes du patrimoine national est un atout majeur dans ce sens, puisque le public rachdaoui pourra apprécier plusieurs prestations artistiques de différentes régions (Figuig, Ouarzazate, Fès, Nador, Midelt, Casablanca, Zagora…). Nous n’oublions pas non plus des ateliers en arts plastiques, contes, musique qui seront animés par des spécialistes américains et marocains.
Pourquoi un festival?
A travers la carte des festivals au Maroc, il en ressort que l’enfance ne jouit pas d’un programme particulier et exclusif. D’où notre idée de se spécialiser dans ce sens. Et puis, nous estimons que notre rôle éducatif nous dicte et nous impose une pareille initiative. Dans ce cadre, je tiens à remercier tous nos partenaires. Je saisis également l’occasion pour appeler tous les intervenants à contribuer au succès des initiatives entreprises dans le domaine.
de l’enfant a organisé les 7 et 8 mai
à Errachidia,
un festival dédié
à l’enfance, sous
le thème «Notre
patrimoine culturel, une sauvegarde de notre identité nationale».
Le directeur de cette manifestation répond aux questions de Libé. Entretien.
Libé : Dans quel contexte intervient votre festival?
Zoubir Saghiri : La première édition du Festival de l’enfant au Sud-est entend d’abord célébrer le huitième anniversaire du Prince héritier Moulay El Hassan. Mais à partir de nos préoccupations associatives dans le cadre de l’Association Espace de l’enfant, nous voulons mettre en œuvre la stratégie nationale visant à impliquer l’enfance et la jeunesse dans la consécration des valeurs de la citoyenneté.
Quels sont vos objectifs ?
Rien qu’à voir le signe de cette première édition, en l’occurrence «Notre patrimoine culturel, une sauvegarde de notre identité nationale», l’on comprend mieux nos objectifs qui veulent à la fois préserver ce patrimoine culturel dans ses aspects artistiques (chants, musiques, rythmes …) et traditions, coutumes et mœurs de la région (mariage, contes, légendes…). Rien ne pourra aider à la conservation du patrimoine culturel si l’enfance n’y est pas impliquée, car cela relève des programmes de socialisation. En deuxième lieu, nous visons à contribuer à la réalisation des stratégies nationales en la matière.
Quels sont les meilleurs moments de cette manifestation?
Il s’agit d’un festival national, et partant, l’existence d’une panoplie de troupes du patrimoine national est un atout majeur dans ce sens, puisque le public rachdaoui pourra apprécier plusieurs prestations artistiques de différentes régions (Figuig, Ouarzazate, Fès, Nador, Midelt, Casablanca, Zagora…). Nous n’oublions pas non plus des ateliers en arts plastiques, contes, musique qui seront animés par des spécialistes américains et marocains.
Pourquoi un festival?
A travers la carte des festivals au Maroc, il en ressort que l’enfance ne jouit pas d’un programme particulier et exclusif. D’où notre idée de se spécialiser dans ce sens. Et puis, nous estimons que notre rôle éducatif nous dicte et nous impose une pareille initiative. Dans ce cadre, je tiens à remercier tous nos partenaires. Je saisis également l’occasion pour appeler tous les intervenants à contribuer au succès des initiatives entreprises dans le domaine.