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Libé : A la clôture de cet événement, est-ce que vous êtes satisfait du travail accompli?
Tarik Fettah : Evidemment, au nom du comité d’organisation du 14ème Raid de l’Atlas de Toubkal, j’assure que nous sommes satisfaits du résultat qu’on a réalisé, surtout lorsqu’on se réfère au nombre des clubs qui y ont participé et qui a dépassé 14. On a enregistré de grandes performances sur le plan technique. En général, tout au long de cette 14ème édition, toutes les dispositions ont été prises aux niveaux organisationnel, logistique, et sécuritaire. Tous les athlètes sont saints et saufs. On a eu de très bons échos de la part des présidents des clubs et des membres fédéraux, qui sont pratiquement tous satisfaits du travail accompli, qui a, d’ailleurs, été réalisé en un intervalle de temps très court. Je dis un «temps record» parce que la décision d’organiser cette édition n’a été prise que lors de la tenue du conseil fédéral du 22 juin. On avait, à cette occasion, pris aussi la décision d’organiser simultanément avec le Raid deux stages de formation, qui ont été effectués au profit des initiateurs d’escalades et des animateurs de montagne. Juste après, il y a eu donc la traversée de l’Oukaimeden à Toubkal et après l’ascension.
En parallèle avec ces activités, on a aussi organisé le championnat national d’escalade. Au total, quatre activités ont été organisées en un temps record. C’est pourquoi je tiens à remercier toutes les commissions, celle qui a veillé sur l’organisation du championnat d’escalade et celle de la randonnée, qui ont aussi fait un excellent travail au niveau des cours théoriques donnés aux stagiaires.
Quelles sont les difficultés que vous aviez rencontrées lors de cette edition?
La décision de la tenue de ces activités n’a été prise que lors du conseil fédéral. Vous savez qu’en ce temps très court, il s’avère difficile d’organiser un événement pareil, tant au niveau de la logistique et de l’hébergement des participants qu’à celui du transport. C’était vraiment un défi pour nous, étant donné que l’organisation nécessite au moins quelques mois. Disons-le franchement, il y a eu de petits dysfonctionnements, mais qui ne nous ont pas empêchés d’organiser cet événement. Il y a eu aussi l’avènement du Ramadan. C’est pourquoi on a préféré concentrer toutes ces activités. Parce qu’après ce mois sacré, il y aura aussi la rentrée scolaire, juste après on a préparé une édition importante à savoir celle d’Ajdir et après il y aura la tenue des assemblées générales des clubs; celles des Ligues, et ensuite les préparations…. Tous ces facteurs ont entraîné cette précipitation qui a engendré de petits dysfonctionnements qui ont été heureusement d’ordre secondaire. Suite aux déclarations des participants, des invités, des autorités locales, de la presse et de tous les clubs qui y ont participé, nous sommes en mesure de nous féliciter de cette organisation.
Est-ce qu’on peut conclure qu’il s’agit d’un défi relevé par vous ?
Cette matinée on a eu une réunion avec l’ensemble des membres fédéraux. On a débattu, brièvement, des dysfonctionnements d’ordre logistique et de communication aussi. En tout cas, c’était une belle expérience à refaire tout en prenant en compte nos erreurs qu’il faut corriger lors des prochaines échéances officielles de la fédération. Et ce pour le bien de ce sport.
Tarik Fettah : Evidemment, au nom du comité d’organisation du 14ème Raid de l’Atlas de Toubkal, j’assure que nous sommes satisfaits du résultat qu’on a réalisé, surtout lorsqu’on se réfère au nombre des clubs qui y ont participé et qui a dépassé 14. On a enregistré de grandes performances sur le plan technique. En général, tout au long de cette 14ème édition, toutes les dispositions ont été prises aux niveaux organisationnel, logistique, et sécuritaire. Tous les athlètes sont saints et saufs. On a eu de très bons échos de la part des présidents des clubs et des membres fédéraux, qui sont pratiquement tous satisfaits du travail accompli, qui a, d’ailleurs, été réalisé en un intervalle de temps très court. Je dis un «temps record» parce que la décision d’organiser cette édition n’a été prise que lors de la tenue du conseil fédéral du 22 juin. On avait, à cette occasion, pris aussi la décision d’organiser simultanément avec le Raid deux stages de formation, qui ont été effectués au profit des initiateurs d’escalades et des animateurs de montagne. Juste après, il y a eu donc la traversée de l’Oukaimeden à Toubkal et après l’ascension.
En parallèle avec ces activités, on a aussi organisé le championnat national d’escalade. Au total, quatre activités ont été organisées en un temps record. C’est pourquoi je tiens à remercier toutes les commissions, celle qui a veillé sur l’organisation du championnat d’escalade et celle de la randonnée, qui ont aussi fait un excellent travail au niveau des cours théoriques donnés aux stagiaires.
Quelles sont les difficultés que vous aviez rencontrées lors de cette edition?
La décision de la tenue de ces activités n’a été prise que lors du conseil fédéral. Vous savez qu’en ce temps très court, il s’avère difficile d’organiser un événement pareil, tant au niveau de la logistique et de l’hébergement des participants qu’à celui du transport. C’était vraiment un défi pour nous, étant donné que l’organisation nécessite au moins quelques mois. Disons-le franchement, il y a eu de petits dysfonctionnements, mais qui ne nous ont pas empêchés d’organiser cet événement. Il y a eu aussi l’avènement du Ramadan. C’est pourquoi on a préféré concentrer toutes ces activités. Parce qu’après ce mois sacré, il y aura aussi la rentrée scolaire, juste après on a préparé une édition importante à savoir celle d’Ajdir et après il y aura la tenue des assemblées générales des clubs; celles des Ligues, et ensuite les préparations…. Tous ces facteurs ont entraîné cette précipitation qui a engendré de petits dysfonctionnements qui ont été heureusement d’ordre secondaire. Suite aux déclarations des participants, des invités, des autorités locales, de la presse et de tous les clubs qui y ont participé, nous sommes en mesure de nous féliciter de cette organisation.
Est-ce qu’on peut conclure qu’il s’agit d’un défi relevé par vous ?
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