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Chantre du «Coupé décalé » à la
congolaise, Nzete Oussama est un artiste à multiples facettes, très
apprécié, sur la scène africaine et
parisienne. Le leader du groupe « Double impact » a donné récemment un show
à Casablanca.
Libé : Quel sens peut-on donner à votre présence au Maroc?
Je suis au Maroc à l’invitation d’un promoteur de spectacles qui m’a proposé de passer les fêtes de fin d’année dans ce merveilleux pays qui compte une forte communauté africaine. C’est à ce titre que j’ai donné un show qu’ont visiblement apprécié les spectateurs. J’ai aussi profité de mon séjour marocain pour tourner un clip et finaliser mon dernier single.
Quelle est justement l’actualité de Nzete Oussama ?
Je prépare un nouveau produit intitulé «Résultat», qui fait suite à « Temps de la vérité », mon précédent album. Après le Maroc, je vais me produire à Paris avant de rentrer au Congo pour préparer ma prochaine tournée et honorer mes contrats.
Vous avez dédié à Lys Mouithys du WAC une de vos chansons. Pourquoi ?
Mouithys compte parmi les Congolais de la diaspora qui ont toujours honoré le Congo. Il met notre pays en valeur. J’ai suivi son parcours depuis Bordeaux et je peux dire qu’il m’impressionne. Il fait partie des personnes que j’estime. J’ai pensé que le moment est venu de l’honorer à notre tour. C’est, entre autres, grâce à ses prouesses sportives que le Maroc parle du Congo-Brazzaville.
Vous vous êtes longtemps distingué dans le Coupé décalé. Mais à écouter vos derniers morceaux, on a le sentiment que vous changez de registre?
Je me refuse d’être catégorisé dans un registre. En tant qu’artiste ouvert sur le monde, j’ai toujours fait de la symbiose, un mélange de divers genres musicaux. Vous retrouverez dans mes albums, la Rumba, le Makossa, le Zouglou avec naturellement le Ndombolo qui reste la musique de base. J’ai toujours travaillé sur ce principe. Je suis un musicien qui fait un peu de tout.
Les difficultés à se faire produire est l’un des soucis des artistes congolais. Rencontrez-vous aussi ce problème?
En ce qui me concerne, les choses se passent plutôt bien. Je peux dire que je ne suis pas à plaindre.
congolaise, Nzete Oussama est un artiste à multiples facettes, très
apprécié, sur la scène africaine et
parisienne. Le leader du groupe « Double impact » a donné récemment un show
à Casablanca.
Libé : Quel sens peut-on donner à votre présence au Maroc?
Je suis au Maroc à l’invitation d’un promoteur de spectacles qui m’a proposé de passer les fêtes de fin d’année dans ce merveilleux pays qui compte une forte communauté africaine. C’est à ce titre que j’ai donné un show qu’ont visiblement apprécié les spectateurs. J’ai aussi profité de mon séjour marocain pour tourner un clip et finaliser mon dernier single.
Quelle est justement l’actualité de Nzete Oussama ?
Je prépare un nouveau produit intitulé «Résultat», qui fait suite à « Temps de la vérité », mon précédent album. Après le Maroc, je vais me produire à Paris avant de rentrer au Congo pour préparer ma prochaine tournée et honorer mes contrats.
Vous avez dédié à Lys Mouithys du WAC une de vos chansons. Pourquoi ?
Mouithys compte parmi les Congolais de la diaspora qui ont toujours honoré le Congo. Il met notre pays en valeur. J’ai suivi son parcours depuis Bordeaux et je peux dire qu’il m’impressionne. Il fait partie des personnes que j’estime. J’ai pensé que le moment est venu de l’honorer à notre tour. C’est, entre autres, grâce à ses prouesses sportives que le Maroc parle du Congo-Brazzaville.
Vous vous êtes longtemps distingué dans le Coupé décalé. Mais à écouter vos derniers morceaux, on a le sentiment que vous changez de registre?
Je me refuse d’être catégorisé dans un registre. En tant qu’artiste ouvert sur le monde, j’ai toujours fait de la symbiose, un mélange de divers genres musicaux. Vous retrouverez dans mes albums, la Rumba, le Makossa, le Zouglou avec naturellement le Ndombolo qui reste la musique de base. J’ai toujours travaillé sur ce principe. Je suis un musicien qui fait un peu de tout.
Les difficultés à se faire produire est l’un des soucis des artistes congolais. Rencontrez-vous aussi ce problème?
En ce qui me concerne, les choses se passent plutôt bien. Je peux dire que je ne suis pas à plaindre.