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Encouragé par les pays occidentaux, notamment les Etats-Unis, les protagonistes tentent tant bien que mal de se mettre d'accord sur un moyen pour répondre aux revendications de la rue.
Ces séances de dialogue réunissent l'ancien chef des renseignements et actuel vice-Président, plusieurs mouvements et partis politiques, dont Al Wafd (libéral) et Attajamoue (gauche) et un représentant de Mohamed El Baradeï, ancien directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique et prix Nobel de la paix.
Jusqu'ici hostiles au dialogue avec les autorités, les Frères musulmans, mouvement officiellement interdit mais toléré dans les faits, ont, eux aussi, accepté d'assister à ces consultations.
Ces négociations interviennent au lendemain de la démission du comité directeur du PND, organe exécutif qui compte dans ses rangs le fils du Président égyptien, Jamal.
D'après la presse égyptienne, il s'agit d'une initiative pour l'apaisement des manifestants, qui s'attachent toujours à leurs revendications relatives au départ du Président égyptien et la dissolution du Parlement.







