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Le centre, au niveau syndical parviendrait-il à calmer les ardeurs régionales, au cas où les négociations avec le ministre aboutiraient? «En tant que Syndicat national de l’enseignement, nous n’avons pas encore tenu de séance de dialogue avec le ministre. Quant à la circulaire concernant le temps scolaire, nous pensons que c’est une question qui mérite un débat approfondi mais qu’il y a eu précipitation. Les avis sont divisés sur cette affaire. Concernant les différentes déclarations du ministre qui ont porté atteinte à la dignité des enseignants, nous avons dénoncé ce type de déclarations et nous débattrons de ce sujet lors de notre Conseil national», a indiqué Abdelaziz Ioui, secrétaire général du SNE, affilié à la FDT, en ajoutant que les contestations régionales sont légitimes.
Au ministère, c’est un autre son de cloche. Le dialogue avec les syndicats est ouvert et toutes les propositions sont les bienvenues. El Ouafa propose même un nouveau statut. Dans une lettre adressée aux enseignants à l’occasion de la Journée mondiale des enseignants, le département de l’Education nationale se dit attelé à l'élaboration d'un statut particulier de la famille de l’enseignement. On y ajoute que ce statut vise l’amélioration de la situation morale et matérielle des enseignants.
Ce qui est sûr, c’est que l’école publique est malade. Malade des expérimentations que chaque ministre apporte dans son cartable et que son successeur range dans les tiroirs pour en administrer d’autres à nos enfants et aux enseignants.
Au fait, où en est la fameuse réforme annoncée tambour battant? On nous fait savoir que cette réforme ne peut être entamée que si le Conseil supérieur de l’éducation et de la formation se réunit.