-
Taux directeur : Le récent statu quo reflète la volonté de BAM de consolider les signaux de désinflation
-
Fin de l’exercice 2025 : Le CESE fixe le cap de ses prochaines auto-saisines
-
CDG Invest Management et le groupe Samta signent un protocole d'investissement
-
L’inflation devrait s’établir à 1,3% en 2026 puis à 1,9% en 2027
-
Fracture numérique : L’ADD envisage la création d’antennes régionales
Le Maroc a réussi à s’imposer comme l’un des trois plus grands marchés africains de l’assurance à la faveur de sa stabilité politique, la taille et la diversité de son économie, sa classe moyenne florissante et ses régulations solides, estime le cabinet Schanz, Alms & Company.
Le Maroc est l’un des trois marchés africains qui réalisent une forte croissance aux côtés du Nigeria et du Kenya, indique le cabinet dans son rapport annuel «African Pulse 2016», publié récemment. Avec des primes annuelles émises de l’ordre de 3,1 milliards de dollars en 2015, le Maroc se classe comme deuxième marché de l’assurance en Afrique après l’Afrique du Sud, indique le cabinet. Au moment où plusieurs pays voisins souffrent d’instabilité politique, rapporte la MAP, le Maroc demeure un pays stable, fiable, bien gouverné et dotée d’une économie qui avance, souligne la même source, mettant en avant les efforts déployés par le Maroc pour renforcer l’ouverture de son secteur de l’assurance.
Cette ouverture est suivie avec intérêt à l’échelle internationale, poursuit le cabinet, soulignant le rôle positif que jouera Casablanca Finance City en tant que hub et plateforme financière vers l’Afrique, notamment l’Afrique de l’Ouest.
Le Trésor place 2,2 MMDH des excédents de trésorerie
La Direction du Trésor et des finances extérieures (DTFE), relevant du ministère de l’Economie et des Finances, a lancé récemment une opération de placement des excédents de trésorerie d'un montant de 2,2 milliards de dirhams (MMDH).
Il s'agit d'un placement avec prise en pension d'une durée de 5 jours, au taux moyen pondéré de 2,45%, indique la DTFE dans un communiqué publié sur le site du ministère.











Taux directeur : Le récent statu quo reflète la volonté de BAM de consolider les signaux de désinflation


