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Bank Al-Maghrib a procédé à une opération de prêt garanti par appel d'offres, dont le règlement a eu lieu le 7 janvier 2016 et le remboursement est prévu le 5 janvier 2017, et ce dans le cadre de ses opérations de régulation. Les soumissionnaires devaient ainsi présenter en garantie de cette opération les actifs éligibles, conformément aux dispositions de la décision réglementaire relative aux instruments de politique monétaire, a souligné la Banque centrale dans un communiqué publié sur son site.
Les intérêts relatifs aux montants servis, seront calculés sur la base de la moyenne du taux directeur au cours de la période considérée, a précisé la même source. A rappeler que pour faire face au ralentissement de la demande de crédit bancaire émanant des entreprises, la Banque centrale injecte hebdomadairement un montant de 30 MMDH, répartis entre les avances à 7 jours sur appel d'offres, à hauteur de 14 MMDH, et les opérations de prêts garantis accordés dans le cadre du programme de soutien au financement de la Très petite et moyenne entreprise (TPME) à hauteur de 16 MMDH.
76 MDH débloqués pour l’indemnisation pour perte d'emploi
Jusqu'à fin novembre dernier, 19.251 demandes ont été formulées dans le cadre de ce régime, dont 6.984 ont été traitées avec le versement d'une somme de 76 millions de dirhams (MDH), a précisé le ministre qui répondait à une question orale à la Chambre des représentants sur l'évaluation de la loi sur l'indemnisation pour perte d'emploi une année après son entrée en vigueur.
L'indemnisation pour perte d'emploi s'effectue sur la base des contributions des employés (0,19 % de la masse salariale) et des employeurs, a-t-il relevé, notant que la cadence de performance du système "n'est pas rapide".
En réponse à une deuxième question sur la performance de ce système, le ministre a déclaré que l'élaboration de la loi sur l'indemnisation pour perte d'emploi a été effectuée de manière participative (dans le cadre de la Caisse nationale de sécurité sociale -CNSS dans laquelle sont représentés le gouvernement, les syndicats et les employeurs), soulignant que cette loi sera évaluée, "et s'il y a besoin de révision, nous allons y procéder".