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Autre urgence, la signature par le Maroc des conventions internationales garantissant les libertés syndicales qu’il a promis de ratifier depuis belle lurette et de mettre à niveau les lois nationales allant dans le même sens.
Les deux autres syndicats, l’UGTM et l’UNTM, respectivement adossés à l’Istiqlal et au PJD, partis formant l’ossature de l’actuel gouvernement, se sont déclarés favorables à un tel texte. Après des débats approfondis, le gouvernement a fini par accepter la proposition de la FDT relative à la refonte du décret organisant les élections des commissions paritaires et à faire figurer ce point prioritaire à l’ordre du jour des négociations qui se dérouleront cette année et non en 2013 comme proposé par l’Exécutif.
Contacté à ce propos, Larbi Habchi, membre du bureau central de la FDT, nous a précisé que la révision de ce décret préalable aux élections visera, entre autres, à rétablir l’équilibre entre les secteurs public et privé. Ceci d’autant plus que la Constitution impose cette révision qui permettra de se mettre au diapason de l’évolution du pays, a-t-il ajouté.
Autre point d’accord entre le gouvernement et les cinq syndicats les plus représentatifs, participant au dialogue social : la décision de tenir deux sessions du dialogue social chaque année, avril et septembre, au lieu d’une seule comme cela a été prévu par le gouvernement.
Par ailleurs, les deux parties ont convenu de débattre et de trancher cette année sur plusieurs questions dont la révision du statut de la Fonction publique, la grille des salaires, la réforme des retraites ainsi que la loi organisant les syndicats.