
Sept années de réalisation pour un hommage au roi du rock and roll: le réalisateur australien Baz Luhrmann a présenté samedi en première mondiale au festival de Toronto un documentaire sur Elvis Presley présentant nombre d'images inédites.
"EPiC : Elvis Presley in Concert" est une fusion entre un film de concert et un documentaire. Baz Luhrmann a notamment utilisé des images complètement oubliées qu'il a redécouvertes en faisant des recherches pour son drame "Elvis" (2022).
Au final, il lui aura fallu sept ans pour réaliser son film, une longue plongée dans les archives familiales et les près de 60 heures de négatifs de films de la Warner Bros.
"Nous avions entendu dire... qu'il pouvait y avoir des images mythiques", a raconté Baz Luhrmann au public de la première à Toronto.
Le réalisateur a dû pour les dénicher restaurer des négatifs à grands frais en collaboration avec Peter Jackson, qui a réalisé un documentaire reconnu sur les Beatles ("The Beatles: Get Back").
Une grande partie des images retrouvées n'avait toutefois aucun son d'accompagnement et cela a nécessité l'utilisation d'experts en lecture labiale pour synchroniser les images avec les sons provenant de différentes sources.
Au final, Baz Luhrmann entend démontrer que le chanteur était encore au sommet de ses performances dans ses dernières années de carrière, contrairement à une idée communément répandue.
Le film emmène les spectateurs dans les coulisses des plus de 1.000 concerts donnés par Elvis Presley (1935-1977) dans les huit dernières années de vie. On y voit notamment le chanteur plaisanter et flirter avec les choristes lors des répétitions, et reprendre des chansons d'autres stars.
Le film est entièrement narré par Elvis Presley lui-même, grâce à l'utilisation d'interviews, d'enregistrements de conférences de presse et d'un entretien audio de 50 minutes qui n'était jamais sorti jusqu'à présent.
"Nous avions décidé de laisser Elvis chanter et raconter lui-même son histoire", résume Baz Luhrmann.
"EPiC" n'a pas encore de distributeur ni de date de sortie - une situation que Baz Luhrmann et les producteurs du film espèrent voir changer grâce au festival de Toronto, qui se tient jusqu'au 14 septembre.
L'Australien estime qu'il pourrait ne pas en avoir fini avec Presley, assurant avoir suffisamment d'images pour réaliser une suite. "Plus vous creusez sur Elvis, plus vous réalisez à quel point il est unique", a-t-il souligné.
"EPiC : Elvis Presley in Concert" est une fusion entre un film de concert et un documentaire. Baz Luhrmann a notamment utilisé des images complètement oubliées qu'il a redécouvertes en faisant des recherches pour son drame "Elvis" (2022).
Au final, il lui aura fallu sept ans pour réaliser son film, une longue plongée dans les archives familiales et les près de 60 heures de négatifs de films de la Warner Bros.
"Nous avions entendu dire... qu'il pouvait y avoir des images mythiques", a raconté Baz Luhrmann au public de la première à Toronto.
Le réalisateur a dû pour les dénicher restaurer des négatifs à grands frais en collaboration avec Peter Jackson, qui a réalisé un documentaire reconnu sur les Beatles ("The Beatles: Get Back").
Une grande partie des images retrouvées n'avait toutefois aucun son d'accompagnement et cela a nécessité l'utilisation d'experts en lecture labiale pour synchroniser les images avec les sons provenant de différentes sources.
Au final, Baz Luhrmann entend démontrer que le chanteur était encore au sommet de ses performances dans ses dernières années de carrière, contrairement à une idée communément répandue.
Le film emmène les spectateurs dans les coulisses des plus de 1.000 concerts donnés par Elvis Presley (1935-1977) dans les huit dernières années de vie. On y voit notamment le chanteur plaisanter et flirter avec les choristes lors des répétitions, et reprendre des chansons d'autres stars.
Le film est entièrement narré par Elvis Presley lui-même, grâce à l'utilisation d'interviews, d'enregistrements de conférences de presse et d'un entretien audio de 50 minutes qui n'était jamais sorti jusqu'à présent.
"Nous avions décidé de laisser Elvis chanter et raconter lui-même son histoire", résume Baz Luhrmann.
"EPiC" n'a pas encore de distributeur ni de date de sortie - une situation que Baz Luhrmann et les producteurs du film espèrent voir changer grâce au festival de Toronto, qui se tient jusqu'au 14 septembre.
L'Australien estime qu'il pourrait ne pas en avoir fini avec Presley, assurant avoir suffisamment d'images pour réaliser une suite. "Plus vous creusez sur Elvis, plus vous réalisez à quel point il est unique", a-t-il souligné.