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Les 19 agents des Forces auxiliaires ont été évacués vers l’hôpital provincial de Dakhla pour y recevoir les premiers soins.
Neuf individus, présumés instigateurs de l’attaque, ont été interpellés par la police pour avoir incité des jeunes à s’en prendre aux forces de l’ordre, d’après les autorités locales de Dakhla.
Selon des rumeurs circulant dans différents milieux de Dakhla, les instigateurs célébraient à leur manière le projet de loi du gouvernement suédois visant la reconnaissance de la fantomatique RASD.
Peter Pham, directeur de l’Africa Center, relevant du prestigieux think tank Atlantic Council, qualifie ce projet de démarche malavisée et mal informée de la part de la Suède. Celle-ci s’engage ainsi dans une approche diplomatique futile sans prise réelle sur la réalité et qui risque de déclencher des conséquences incalculables.
L’expert américain a ajouté que “la Suède ne doit pas ignorer le fait que la fantomatique +Rasd+, qui ne dispose pas d’attributs constitutifs d’un Etat, est animée par des visées déstabilisatrices de la région”. Et d’appeler les autorités suédoises “à se soucier plutôt de la misère intergénérationnelle qui sévit dans les camps de Tindouf où les populations parquées, contre leur gré, croulent sous la misère et le manque de perspectives économiques et politiques”.
Le club local de la presse a rendu public un communiqué à propos de ces évènements.