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"Il s’agit de projets impressionnants", a déclaré M. Reilly à la MAP, faisant observer que le Maroc, une nation maritime avec plus de 3.500 km de côtes, «constitue également un pont entre l'Europe et l'Afrique.
Dans ce contexte, il est essentiel que les installations portuaires du Royaume soient développées en conséquence». Casablanca, étant la plaque tournante commerciale du Maroc, le fait de développer et de valoriser son port «est une excellente stratégie économique», a-t-il estimé.
M. Reilly a, d’autre part, souligné que compte tenu des autres infrastructures portuaires telles que Tanger Med et Nador West-Med, le renforcement de la capacité et de l'attractivité des ports de la côte atlantique «est non seulement judicieux sur les plans économique et commercial, mais aussi géographique et géopolitique». Et d’ajouter que l'augmentation de la capacité et de l'efficacité des ports marocains contribuera, sans nul doute, à améliorer les échanges commerciaux avec les pays africains et d’autres nations, rapporte la MAP.
Qualifiant d’«extraordinaires» l'ampleur et le rythme du développement économique du Maroc, M. Reilly a souligné que «pour soutenir ce développement, il est essentiel de disposer d'infrastructures solides, fiables et robustes».
Il a, dans ce sens, relevé que le complexe portuaire de Casablanca, ainsi que le développement des autres grands ports le long des côtes marocaines, stimuleront les échanges commerciaux et serviront à conforter le poids économique croissant et l’importance du Maroc sur l’échelle mondiale. Et de conclure que le développement du complexe portuaire de Casablanca «s’inscrit dans une remarquable histoire de croissance durable au Maroc, qu'il convient de saluer».









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