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Alors que la dépression touche plusieurs personne à travers le monde et reste souvent mal diagnostiquée, un bracelet connecté pourrait bien venir améliorer la détection et la prise en charge de cette maladie. Bourré de capteurs, ce bracelet dont les tests démarreront en février, serait ainsi capable d’enregistrer plusieurs données physiologiques, comportementales afin de réaliser un «profil numérique» du patient, explique le quotidien français «Le Parisien» : tension artérielle, température corporelle, sommeil dégradé, respiration plus courte, peau plus acide…
«Ce bracelet vise à donner l’alerte quand la santé psychique flanche», explique au quotidien Philippe Nuss, psychiatre à l’hôpital Saint-Antoine, à Paris, qui va conduire l’expérimentation. La technique pourrait aussi permettre de repérer plus rapidement les premiers signes, avant même que la maladie ne soit installée. «On n’est pas obligé d’attendre que le patient soit déprimé. Pour l’éviter, on peut mettre en place plein de stratégies plus douces que les médicaments: l’exercice physique, la méditation, l’exposition au soleil… »
Passée la phase de détection par le bracelet, au médecin de faire son travail. Coup de blues, fatigue, stress ou réelle pathologie ? «Ce bracelet nous aidera à faire le tri. Et si c’est alarmant, cela permettra une meilleure prise en charge», poursuit le spécialiste.
«Ce bracelet vise à donner l’alerte quand la santé psychique flanche», explique au quotidien Philippe Nuss, psychiatre à l’hôpital Saint-Antoine, à Paris, qui va conduire l’expérimentation. La technique pourrait aussi permettre de repérer plus rapidement les premiers signes, avant même que la maladie ne soit installée. «On n’est pas obligé d’attendre que le patient soit déprimé. Pour l’éviter, on peut mettre en place plein de stratégies plus douces que les médicaments: l’exercice physique, la méditation, l’exposition au soleil… »
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