Le milieu de terrain marocain de Montpellier (1ère division française), Younès Belhanda a indiqué avoir assumé pleinement son choix "sans contrainte" et "naturel" de jouer pour les Lions de l'Atlas, un peu plus d'une année après sa première cape avec l'équipe nationale de football, en novembre 2010 lors du match amical contre l'Irlande.
"Je n'ai pas hésité. Beaucoup de gens m'ont dit - et me disent encore ! - que c'était une erreur de ne pas choisir la France. Mais j'ai fait ce choix et tout le monde doit le respecter. Sinon, c'est dénigrer le Maroc. Je ne laisserai personne en dire du mal", affirme-t-il dans un entretien à France Football.
"Je respecte la France. Je suis né en France, mais une grande partie de ma famille est à Taza", a souligné l'international marocain, expliquant qu'"entre la France et le Maroc, c'était mitigé pour moi, c'était du 50-50. Mais je n'ai pas eu de contrainte à choisir le Maroc".
Evoquant son expérience au sein du Onze marocain, dont il a porté le maillot à 12 reprises, Belhanda s'est expliqué sur l'échec à la dernière Coupe d'Afrique des nations (CAN-2012) en évoquant le besoin du mettre "du physique".
"On avait fait de super qualifications. On se sentait forts, sereins. Mais quand tu viens jouer en Afrique pour la première fois, comme c'était le cas pour la plupart d'entre nous (dans l'équipe marocaine, Ndlr), tu te rends compte que le jeu y est bien plus musclé", a-t-il souligné.
"Tout est dans les duels, même si la Zambie (tenant du titre, ndlr) était une équipe hypertechnique. Nous, on a voulu faire notre jeu sans y mettre de physique", ajoute-t-il.
Belhanda a appelé à tirer les leçons de cet échec. "On apprend de ses erreurs. Il faudra réagir en 2013. Réfléchir ensemble, trouver les bons ingrédients pour ne pas faire ce qu'on a fait au Gabon", conclut-il.
Auteur de 7 buts en Ligue 1 cette saison avec Montpellier (leader du championnat), l'international marocain est très courtisé par plusieurs clubs européens en prévision de la saison prochaine.
"Je n'ai pas hésité. Beaucoup de gens m'ont dit - et me disent encore ! - que c'était une erreur de ne pas choisir la France. Mais j'ai fait ce choix et tout le monde doit le respecter. Sinon, c'est dénigrer le Maroc. Je ne laisserai personne en dire du mal", affirme-t-il dans un entretien à France Football.
"Je respecte la France. Je suis né en France, mais une grande partie de ma famille est à Taza", a souligné l'international marocain, expliquant qu'"entre la France et le Maroc, c'était mitigé pour moi, c'était du 50-50. Mais je n'ai pas eu de contrainte à choisir le Maroc".
Evoquant son expérience au sein du Onze marocain, dont il a porté le maillot à 12 reprises, Belhanda s'est expliqué sur l'échec à la dernière Coupe d'Afrique des nations (CAN-2012) en évoquant le besoin du mettre "du physique".
"On avait fait de super qualifications. On se sentait forts, sereins. Mais quand tu viens jouer en Afrique pour la première fois, comme c'était le cas pour la plupart d'entre nous (dans l'équipe marocaine, Ndlr), tu te rends compte que le jeu y est bien plus musclé", a-t-il souligné.
"Tout est dans les duels, même si la Zambie (tenant du titre, ndlr) était une équipe hypertechnique. Nous, on a voulu faire notre jeu sans y mettre de physique", ajoute-t-il.
Belhanda a appelé à tirer les leçons de cet échec. "On apprend de ses erreurs. Il faudra réagir en 2013. Réfléchir ensemble, trouver les bons ingrédients pour ne pas faire ce qu'on a fait au Gabon", conclut-il.
Auteur de 7 buts en Ligue 1 cette saison avec Montpellier (leader du championnat), l'international marocain est très courtisé par plusieurs clubs européens en prévision de la saison prochaine.
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