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			 Le double attentat n'a pas été revendiqué mais, depuis le début de l'année, les insurgés sunnites redoublent d'efforts pour déstabiliser le gouvernement à majorité chiite du Premier ministre Nouri Al Maliki et déclencher des affrontements inter-communautaires.
Veaux et vaches jonchaient le sol dans le sang et la poussière après la double explosion qui s'est produite simultanément sur le marché de la ville, située à 150 km au sud de Bagdad.
Jeudi, une série d'explosions dans des quartiers chiites de Bagdad avait fait au moins 22 morts. Comme pour ceux de vendredi, les attentats n'ont pas été revendiqués.
Deux voitures piégées, l'une garée près d'un restaurant bondé et l'autre près d'un stade de football, ont explosé au coucher du soleil et fait au moins 18 morts dans le quartier de Choula dans le sud de Bagdad.
Une autre voiture piégée et six engins explosifs dissimulés dans le sol aux abords d'un marché ont tué quatre autres personnes dans le quartier de Mahmoudiya, également dans le sud de la capitale. Le couvre-feu a été imposé dans le secteur après les attentats.
L'Irak est plus calme que lors des sanglants affrontements communautaires de 2006-2007, mais les dirigeants chiites craignent que la guerre civile en Syrie voisine n'ait pour conséquence de replonger le pays dans des violences à caractère religieux.

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