-
Le Code de procédure pénale passé au crible
-
Le Président français se félicite du lancement par SM le Roi des travaux de réalisation de la Ligne à Grande Vitesse Kénitra-Marrakech
-
SM le Roi prône une vision ambitieuse pour le Maroc et l’Afrique
-
La Confédération des Etats du Sahel salue le soutien “constant” du Maroc sous le leadership de SM le Roi
À cette fin, le séminaire portera sur les sujets suivants :
-Le degré de respect des droits fondamentaux des populations civiles séquestrées à Tindouf, et le niveau de leur jouissance de ces droits garantis par les valeurs humaines universelles communes et les règles du droit international humanitaire, tels que le droit à la vie, le droit à l’intégrité physique et le droit à la libre circulation.
-Constater l’ampleur de la souffrance des familles des séquestrés dans les camps de Tindouf par la fragmentation et la séparation des familles, ainsi que la tragique situation vécue par les femmes en raison de la confiscation de leur droit à une vie digne et stable, en plus de la souffrance des enfants privés du droit à l’éducation, à la santé et à la protection contre tous les dangers.
-La responsabilité de l’Etat d’accueil de la détérioration de la situation humanitaire de la population des camps de Tindouf, son refus aux organisations internationales et des droits de l’Homme du libre accès à ces populations et leur recensement ; la responsabilité pleine et entière de l’Etat d’accueil de l’aggravation de la situation humanitaire dans les camps de Tindouf et des pratiques contraires aux valeurs et aux principes du droit international humanitaire et des droits de l’homme commises sur le territoire d’un pays partie aux quatre Conventions de Genève de 1949 et aux autres Conventions internationales pertinentes.
-La nécessité pour une intervention urgente et immédiate de la communauté internationale et des organisations des droits de l’Homme pour mettre fin au calvaire des populations à Tindouf et à la situation de leurs séquestrations imposées à ces populations conformément aux dispositions du droit international humanitaire; et leur permettre d’exercer leur droit à la liberté de circulation et le retour à leur mère patrie, ce qui nécessite la mobilisation collective de toutes les parties contractantes des Conventions internationales afférentes en vue d’en respecter les principaux engagements.