Le FC Porto, résistant en défense et tranchant en attaque, a coupé les ailes d'Arsenal (1-0) avec un but superbe de Galeno dans le temps additionnel, mercredi en huitièmes de finale aller de Ligue des champions.
Le club portugais emmené par le vétéran Pepe a donné une belle leçon d'humilité et d'efficacité à l'équipe de Mikel Arteta qui, en dépit de son manque d'expérience en Ligue des champions, commençait déjà à parler de Wembley, hôte de la finale.
"Le frein à main était un peu trop serré. Etait-ce de l'inexpérience?", s'est interrogé l'ancien défenseur d'Arsenal, Martin Keown, à l'antenne de TNT Sports.
Le club anglais, avec ses jeunes Declan Rice et Bukayo Saka en porte-drapeaux, devra faire plus, et mieux, le 12 mars dans son Emirates du nord de Londres pour atteindre les quarts de finale, quatorze ans après les derniers disputés.
Les "Gunners" sont pourtant arrivés au Stadio do Dragao escortés par cinq victoires consécutives, avec 21 buts inscrits par une attaque tout feu tout flamme, et donc une confiance au zénith.
Mais l'écart de niveau qui sépare certains clubs de Premier League, comme les dernières victimes West Ham (6-0) et Burnley (5-0), et un club comme le FC Porto, habitué aux joutes continentales, s'est révélé assez grand mercredi.
Le troisième du championnat portugais possède aussi une arme redoutable avec Galeno, son ailier gauche brésilien de 26 ans, auteur d'une magnifique frappe enroulée de l'extérieur de la surface au bout du temps additionnel (90e+4).
En début de match, c'est déjà lui qui s'était glissé devant William Saliba, trop attentiste, pour envoyer un ballon sur le poteau de David Raya, déjà dépassé (21e).
Galeno s'épanouit quand la musique de la Ligue des champions retentit. Il compte désormais cinq buts et trois passes décisives dans cette édition 2023-2024.
Dans le camp d'en face, ni Bukayo Saka, ni Gabriel Martinelli n'ont produit leurs étincelles habituelles sur les côtés. Et Kai Havertz, employé comme avant-centre, n'a pas donné beaucoup plus de sueurs froides à l'arrière-garde portugaise.
"Nous n'avons pas été assez menaçants, nous avons manqué d'agressivité", face à une équipe de surcroît "très bien organisée défensivement", a reconnu Mikel Arteta.
Ce revers in extremis réveille de douloureux souvenirs pour les supporters d'Arsenal. Lors de ses sept dernières participations en Ligue des champions, l'équipe londonienne a été éliminée au stade des huitièmes de finale à chaque fois.
L'histoire peut aussi être source d'espoir. La dernière fois qu'Arsenal a atteint les quarts de finale, en 2010, c'était aux dépens du FC Porto. Les "Gunners" d'Arsène Wenger avait pris l'eau à l'aller (défaite 2-1), avant de marcher sur les Portugais au retour à Londres (5-0).
Le club portugais emmené par le vétéran Pepe a donné une belle leçon d'humilité et d'efficacité à l'équipe de Mikel Arteta qui, en dépit de son manque d'expérience en Ligue des champions, commençait déjà à parler de Wembley, hôte de la finale.
"Le frein à main était un peu trop serré. Etait-ce de l'inexpérience?", s'est interrogé l'ancien défenseur d'Arsenal, Martin Keown, à l'antenne de TNT Sports.
Le club anglais, avec ses jeunes Declan Rice et Bukayo Saka en porte-drapeaux, devra faire plus, et mieux, le 12 mars dans son Emirates du nord de Londres pour atteindre les quarts de finale, quatorze ans après les derniers disputés.
Les "Gunners" sont pourtant arrivés au Stadio do Dragao escortés par cinq victoires consécutives, avec 21 buts inscrits par une attaque tout feu tout flamme, et donc une confiance au zénith.
Mais l'écart de niveau qui sépare certains clubs de Premier League, comme les dernières victimes West Ham (6-0) et Burnley (5-0), et un club comme le FC Porto, habitué aux joutes continentales, s'est révélé assez grand mercredi.
Le troisième du championnat portugais possède aussi une arme redoutable avec Galeno, son ailier gauche brésilien de 26 ans, auteur d'une magnifique frappe enroulée de l'extérieur de la surface au bout du temps additionnel (90e+4).
En début de match, c'est déjà lui qui s'était glissé devant William Saliba, trop attentiste, pour envoyer un ballon sur le poteau de David Raya, déjà dépassé (21e).
Galeno s'épanouit quand la musique de la Ligue des champions retentit. Il compte désormais cinq buts et trois passes décisives dans cette édition 2023-2024.
Dans le camp d'en face, ni Bukayo Saka, ni Gabriel Martinelli n'ont produit leurs étincelles habituelles sur les côtés. Et Kai Havertz, employé comme avant-centre, n'a pas donné beaucoup plus de sueurs froides à l'arrière-garde portugaise.
"Nous n'avons pas été assez menaçants, nous avons manqué d'agressivité", face à une équipe de surcroît "très bien organisée défensivement", a reconnu Mikel Arteta.
Ce revers in extremis réveille de douloureux souvenirs pour les supporters d'Arsenal. Lors de ses sept dernières participations en Ligue des champions, l'équipe londonienne a été éliminée au stade des huitièmes de finale à chaque fois.
L'histoire peut aussi être source d'espoir. La dernière fois qu'Arsenal a atteint les quarts de finale, en 2010, c'était aux dépens du FC Porto. Les "Gunners" d'Arsène Wenger avait pris l'eau à l'aller (défaite 2-1), avant de marcher sur les Portugais au retour à Londres (5-0).