Autres articles
-
La RSB à l’assaut du Zamalek
-
Coupes interclubs de la CAF. Le règne sans partage des Nord-Africains
-
8ème édition du Trophée de la Pena Madridista de Casablanca
-
Participation de Nezar Ballil aux championnats du monde de force athlétique
-
Championnat d’Afrique de VTT: 32 coureurs cyclistes défendent les couleurs nationales
Sitôt terminé, sitôt relancé ! Et c’est chose rare dans notre championnat de football. A peine est-il fini que le concours national suscite l’attention voire la polémique autour du choix du coach pour la saison prochaine.
Beaucoup de clubs de première division qui se préparent à entrer de plain-pied dans le professionnalisme annoncé pour la saison 2011/2012, commencent à adopter des habitudes et des comportements dignes des clubs professionnels. Il fut un temps où l’entraineur n’était désigné qu’à la veille de l’entame du championnat. Du nouveau, du positif certes, mais des défaillances subsistent au niveau de la méthode et des voies juridiques à suivre pour signer un contrat en bonne et due forme. Sans oublier également les critères pris en compte pour recruter un entraineur. En effet, plusieurs clubs nationaux ont été arnaqués à ce niveau par des coachs étrangers qui, en réalité, étaient de simples professeurs d’éducation physique ou ayant un diplôme d’initiateur venu d’ailleurs. Un premier exemple sur les conflits juridiques relatifs aux procédures de signature de contrat nous vient du fameux Fullone qu’on disait signataire d’un contrat enregistré dans un arrondissement d’El Jadida en faveur du DHJ alors qu’il est finalement resté au KAC .Fullone est connu pour ses sorties rocambolesques. Être annoncé chez deux clubs est toujours le meilleur moyen de faire monter les enchères. Le Raja et le WAC en savent quelque chose ! Deux clubs qui n’ont pas encore trouvé d’entraineur après les départs de Badou Zaki pressenti au MAS séparé de Skitioui et de Romao qui a été, semble-t-il, supplanté à l’Etoile du Sahel par un certain M’hamed Fakhir, présent en Tunisie pour peaufiner un contrat professionnel avec le club tunisien. Chez les Rouges, on annonce un certain Perrain, mais le Wydad peut-il se permettre un coach à 200.000 euros? C’est de l’insensé! Au Raja, c’est encore l’attente. Mais, il semble que les deux clubs de la métropole seront coachés par des entraineurs étrangers. Le fait marquant de cette phase de préparation est que certains clubs nationaux ont opté pour la continuité en gardant leurs entraineurs. Il s’agit du WAF qui maintient le cadre national Talib à son poste pour la saison prochaine. Il en sera de même pour l’ASFAR qui garde Aziz Amri aux commandes du contingent militaire. Ce dernier, rappelons-le, a battu le dauphin du championnat lors de la dernière journée. C’est le cas également de l’OCK avec M’rini qui a réussi une assez bonne saison avec un effectif très jeune qui fera certainement parler de lui la saison prochaine. Il en sera de même au KACM qui garde Fathi Jamal pour deux ans et le FUS qui s’engage avec Amouta pour la continuité. Et bien sûr, il y a des clubs qui préfèrent l’instabilité technique comme le MAT qui a signé un contrat avec Jodard, ex-entraîneur du Hassania ou encore ceux qui ont fini la saison dans la douleur mais ne pensent pas au recrutement avant des règlements de comptes dans les comités dirigeants.
Beaucoup de clubs de première division qui se préparent à entrer de plain-pied dans le professionnalisme annoncé pour la saison 2011/2012, commencent à adopter des habitudes et des comportements dignes des clubs professionnels. Il fut un temps où l’entraineur n’était désigné qu’à la veille de l’entame du championnat. Du nouveau, du positif certes, mais des défaillances subsistent au niveau de la méthode et des voies juridiques à suivre pour signer un contrat en bonne et due forme. Sans oublier également les critères pris en compte pour recruter un entraineur. En effet, plusieurs clubs nationaux ont été arnaqués à ce niveau par des coachs étrangers qui, en réalité, étaient de simples professeurs d’éducation physique ou ayant un diplôme d’initiateur venu d’ailleurs. Un premier exemple sur les conflits juridiques relatifs aux procédures de signature de contrat nous vient du fameux Fullone qu’on disait signataire d’un contrat enregistré dans un arrondissement d’El Jadida en faveur du DHJ alors qu’il est finalement resté au KAC .Fullone est connu pour ses sorties rocambolesques. Être annoncé chez deux clubs est toujours le meilleur moyen de faire monter les enchères. Le Raja et le WAC en savent quelque chose ! Deux clubs qui n’ont pas encore trouvé d’entraineur après les départs de Badou Zaki pressenti au MAS séparé de Skitioui et de Romao qui a été, semble-t-il, supplanté à l’Etoile du Sahel par un certain M’hamed Fakhir, présent en Tunisie pour peaufiner un contrat professionnel avec le club tunisien. Chez les Rouges, on annonce un certain Perrain, mais le Wydad peut-il se permettre un coach à 200.000 euros? C’est de l’insensé! Au Raja, c’est encore l’attente. Mais, il semble que les deux clubs de la métropole seront coachés par des entraineurs étrangers. Le fait marquant de cette phase de préparation est que certains clubs nationaux ont opté pour la continuité en gardant leurs entraineurs. Il s’agit du WAF qui maintient le cadre national Talib à son poste pour la saison prochaine. Il en sera de même pour l’ASFAR qui garde Aziz Amri aux commandes du contingent militaire. Ce dernier, rappelons-le, a battu le dauphin du championnat lors de la dernière journée. C’est le cas également de l’OCK avec M’rini qui a réussi une assez bonne saison avec un effectif très jeune qui fera certainement parler de lui la saison prochaine. Il en sera de même au KACM qui garde Fathi Jamal pour deux ans et le FUS qui s’engage avec Amouta pour la continuité. Et bien sûr, il y a des clubs qui préfèrent l’instabilité technique comme le MAT qui a signé un contrat avec Jodard, ex-entraîneur du Hassania ou encore ceux qui ont fini la saison dans la douleur mais ne pensent pas au recrutement avant des règlements de comptes dans les comités dirigeants.
La RSB à l’assaut du Zamalek
