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Protestant contre le refus des autorités péruviennes de lui permettre l’accès à leur territoire, la séparatiste a squatté une pièce de l’aéroport depuis le 9 septembre jusqu’ au mercredi 27 septembre, date à laquelle des policiers l’ont escortée vers un avion à destination de l’Espagne, pays dont elle porte la nationalité.
Cette expulsion met un terme à une affaire qui a perduré en dépit du fait que les autorités péruviennes lui avaient proposé de rentrer au pays en qualité de touriste, une offre qu’elle a déclinée, préférant squatter la zone internationale de l’aéroport de la capitale, Lima.
Les autorités péruviennes reprochaient à Khadijetou El Mokhtar d’avoir enfreint la loi en voulant exploiter sa «qualité migratoire de touriste». Ce qu’elle avait déjà fait lors d’un précédent séjour au Pérou.
Un communiqué du ministère péruvien des Affaires étrangères avait précisé au début de cette semaine que «la citoyenne espagnole demeure volontairement à l’aéroport international de Lima étant donné qu’elle refuse le réembarquement vers son pays d’origine et qu’elle n’accepte pas les facilités qui lui sont offertes par la Surintendance nationale chargée des migrations».












