Premier Conseil des ministres aujourd’hui sans Mohamed Ouzzine. L’homme à la raclette labellisée FIFA, celui qui a démissionné après avoir promis le pire, c’est-à-dire de ne pas partir parce que tout était de la faute de ses collaborateurs, de Blatter et de tous les Harakis jaloux de son ascension et de sa bonne étoile (connue dans le cosmos sous le nom de Halima. Si, si, il paraît que c’est vrai) n’est pas de ce Conseil des ministres et rien n’est dépeuplé. Il a été démissionné depuis une vingtaine de jours. D’accord, il a été accueilli en héros dans sa famille politique. Et il n’y a rien à comprendre dans cette schizophrénie hyper de chez nous.
Soyons juste. Le poste n’est pas complètement vacant. Mohand Laenser en assure l’intérim. On ne sait pas s’il faut parler de promotion pour celui qui a été ministre de l’Intérieur et qui se retrouve à faire des remplacements à la Jeunesse et aux Sports. Le temps qu’un remaniement partiel, élargi, utile, inutile –biffez la mention inutile- ait lieu.
En attendant, l’exception marocaine se porte très bien.