Sinon, comment s’expliquer l’impunité criante dont semble jouir le dénommé Abou Naïm qui vient de recracher son venin et de vomir ses accusations, menaces et injures ?
Un récidiviste notoire, ce cheikh de l’insulte et de la haine. Quelle croyance, quelle idéologie pourrait justifier cette sauvagerie qui est la sienne. Il s’en est pris de la manière la plus ignoble qui soit au Premier secrétaire de l’USFP, Driss Lachguar, ainsi qu’à l’activiste Ahmed Assid. Le ministre des Habous, Ahmed Taoufiq fait partie cette fois du lot de ceux que le sinistre personnage frappe d’apostasie et traite de tous les noms d’oiseau.
C’est bien beau de procéder à temps au démantèlement de cellules terroristes qui pullulent à travers le pays, mais il ne faut surtout pas sous-estimer l’impact de déclarations haineuses ou de fatwas assassines. Le mal commence par là.
Le danger se fait de plus en plus grand, tant que des individus de la trempe d’Abou Naïm continuent de sévir.
Au fait, pour qui roule cet individu? Il y a bien de zones d’ombre qui l’entourent. Officiellement, il est petit fonctionnaire, censé être payé au mois. Il doit, en principe, à l’instar de la quasi-totalité des fonctionnaires, avoir du mal à joindre les deux bouts. Ce n’est sûrement pas le cas. On est cependant en droit de se demander comment avec un salaire de misère, on serait en mesure d’entretenir deux femmes et une ribambelle de …vingt et un enfants. Si c’est pas louche …!