Le coup d’envoi de la 7ème édition du Festival "Marrakech Folklore Days" a été donné jeudi soir à la Cité ocre, par une soirée féérique célébrant la magie des arts populaires et du patrimoine immatériel universel.
Pendant plus de deux heures, le public a été emmené dans un véritable voyage à travers la magie du folklore d'anciennes nations européennes au cœur de l’emblématique Palais Bahia, l’un des sites hébergeant les spectacles du festival.
Ainsi, des ensembles folkloriques venus d’Autriche, d’Espagne, d’Allemagne et d’Italie, se sont succédé sur la scène, proposant au public des spectacles époustouflants, et partageant la diversité de leurs traditions ainsi que la richesse de leurs expressions artistiques, dans un esprit de paix, de respect et de fraternité universelle.
Les troupes ont gratifié le public de danses chorégraphiques agrémentées de chants exécutés avec brio et donnant lieu à de merveilleux échanges gestuels entre les artistes.
Cette soirée inaugurale a tenu toutes ses promesses en parvenant à faire rêver à travers des spectacles, qui diffusent un message universel, celui de la compréhension mutuelle, de la paix et de l’authenticité artistique, le tout s’inscrivant dans un métissage culturel célébrant la diversité du patrimoine immatériel international, où chaque groupe a fièrement apporté un fragment de l'âme de son pays.
Dans une déclaration à la MAP, Youssef Hassani, directeur du festival et président de l’Association du patrimoine et du folklore, initiatrice de cette manifestation culturelle et artistique, a souligné que cette édition rassemble plus de 600 artistes issus de plus de 20 pays.
Il a indiqué que les organisateurs ont concocté un programme riche et varié comprenant des spectacles folkloriques en plus d’ateliers organisés en marge des spectacles, permettant aux visiteurs et aux habitants de s'initier aux pas de danse et aux rythmes musicaux de différentes régions du globe.
Dans une déclaration similaire, Dorothy, membre du groupe Volkstanzgruppe Treubach (Autriche), s’est dite très heureuse de participer à ce festival et de pouvoir découvrir la culture, la gastronomie et les sites touristiques du Maroc.
Organisée jusqu’au 26 octobre courant, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, la Wilaya de la région de Marrakech-Safi, la Commune de Marrakech, la Maison de l’artisan, le Conseil régional du tourisme (CRT), la Fondation Jardin Majorelle et le Centre culturel "Les Étoiles de Jemaa El Fna", cette manifestation artistique et culturelle initiée sous le thème "Héritage de la paix" s'est imposée comme un espace de rencontre, d’échange et de dialogue entre les cultures du monde.
Cette édition met à l’honneur la culture marrakchie et les traditions de la "Dakka", symbole d’un héritage vivant et d’un art de vivre authentique.
L’un des moments phares de cette édition sera l’organisation d’une parade qui verra la participation de différents types de folklores nationaux et étrangers cadencée à la musique folklorique de chaque nation du monde.
Selon les organisateurs, cette manifestation culturelle, qui offre une plateforme de visibilité inestimable pour les arts populaires et renforce les liens d'amitié entre les nations, vise à faire rayonner à l’international l’esprit de Marrakech, ville connue pour la joie, l’ouverture d’esprit, la chaleur humaine et l’hospitalité de ses habitants, valeurs qui accompagnent toute la programmation de cette édition.
Pendant plus de deux heures, le public a été emmené dans un véritable voyage à travers la magie du folklore d'anciennes nations européennes au cœur de l’emblématique Palais Bahia, l’un des sites hébergeant les spectacles du festival.
Ainsi, des ensembles folkloriques venus d’Autriche, d’Espagne, d’Allemagne et d’Italie, se sont succédé sur la scène, proposant au public des spectacles époustouflants, et partageant la diversité de leurs traditions ainsi que la richesse de leurs expressions artistiques, dans un esprit de paix, de respect et de fraternité universelle.
Les troupes ont gratifié le public de danses chorégraphiques agrémentées de chants exécutés avec brio et donnant lieu à de merveilleux échanges gestuels entre les artistes.
Cette soirée inaugurale a tenu toutes ses promesses en parvenant à faire rêver à travers des spectacles, qui diffusent un message universel, celui de la compréhension mutuelle, de la paix et de l’authenticité artistique, le tout s’inscrivant dans un métissage culturel célébrant la diversité du patrimoine immatériel international, où chaque groupe a fièrement apporté un fragment de l'âme de son pays.
Dans une déclaration à la MAP, Youssef Hassani, directeur du festival et président de l’Association du patrimoine et du folklore, initiatrice de cette manifestation culturelle et artistique, a souligné que cette édition rassemble plus de 600 artistes issus de plus de 20 pays.
Il a indiqué que les organisateurs ont concocté un programme riche et varié comprenant des spectacles folkloriques en plus d’ateliers organisés en marge des spectacles, permettant aux visiteurs et aux habitants de s'initier aux pas de danse et aux rythmes musicaux de différentes régions du globe.
Dans une déclaration similaire, Dorothy, membre du groupe Volkstanzgruppe Treubach (Autriche), s’est dite très heureuse de participer à ce festival et de pouvoir découvrir la culture, la gastronomie et les sites touristiques du Maroc.
Organisée jusqu’au 26 octobre courant, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, la Wilaya de la région de Marrakech-Safi, la Commune de Marrakech, la Maison de l’artisan, le Conseil régional du tourisme (CRT), la Fondation Jardin Majorelle et le Centre culturel "Les Étoiles de Jemaa El Fna", cette manifestation artistique et culturelle initiée sous le thème "Héritage de la paix" s'est imposée comme un espace de rencontre, d’échange et de dialogue entre les cultures du monde.
Cette édition met à l’honneur la culture marrakchie et les traditions de la "Dakka", symbole d’un héritage vivant et d’un art de vivre authentique.
L’un des moments phares de cette édition sera l’organisation d’une parade qui verra la participation de différents types de folklores nationaux et étrangers cadencée à la musique folklorique de chaque nation du monde.
Selon les organisateurs, cette manifestation culturelle, qui offre une plateforme de visibilité inestimable pour les arts populaires et renforce les liens d'amitié entre les nations, vise à faire rayonner à l’international l’esprit de Marrakech, ville connue pour la joie, l’ouverture d’esprit, la chaleur humaine et l’hospitalité de ses habitants, valeurs qui accompagnent toute la programmation de cette édition.
Bouillon de culture
Echos du FNF
Le film "Démons du peuple", de la réalisatrice et scénariste Sara Benhaimed, a été projeté, jeudi, dans le cadre de la compétition officielle des films d'écoles et des instituts de cinéma du 25ème Festival national du film de Tanger.
Ce court métrage de 12 minutes raconte l'histoire de Rayan qui grandit au sein d’une famille aisée, aux côtés de ses parents, Hassan et Ghita, dans un quartier huppé. Mais son enfance est loin d’être ordinaire. Doté d’une sensibilité morale et spirituelle hors du commun, il se distingue très tôt des autres enfants, une différence qui fera de sa vie un véritable cauchemar.
+++++++++++++.
En lice dans la même catégorie, le film "Le dernier silence", écrit et réalisé par Mahmoud El Asri, a également été projeté.
Ce court métrage de 10 minutes relate le parcours d’un homme solitaire qui, dans un monde en noir et blanc, découvre une mystérieuse radio. Peu à peu, les sons qu’elle diffuse réveillent en lui des émotions, des souvenirs… et la couleur.
+++++++++++++
Dans la catégorie longs métrages documentaires, "La Coshta" (62 minutes), de la réalisatrice Dounia Niouf, a été projeté.
Ce film tourne autour de "Sarghinia", une femme ambitieuse, passionnée par l’océan, qui rêve de devenir marin. Pour ce faire, elle s’appuie sur sa détermination sans faille et le soutien de Yissa, ancien chef des "Azdouz" dans le village de pêche traditionnelle de "Lassarga", fort de vingt années d’expérience entre mer et terre.
+++++++++++++
Dans la catégorie court métrages, "Les jardins du paradis" (19 minutes) de la réalisatrice et scénariste Sonia Terrab a été projeté.
Le film raconte le quotidien de Naima qui vit avec son fils Ahmed dans un bidonville, depuis la disparition de son ex-mari il y a quelques années. Lorsque l’Etat décide de les reloger, Ahmed doit changer d’école. Mais la loi est claire : seul son père peut signer les documents du transfert. Naima n’a alors d’autre choix que de partir à sa recherche.
Le film "Démons du peuple", de la réalisatrice et scénariste Sara Benhaimed, a été projeté, jeudi, dans le cadre de la compétition officielle des films d'écoles et des instituts de cinéma du 25ème Festival national du film de Tanger.
Ce court métrage de 12 minutes raconte l'histoire de Rayan qui grandit au sein d’une famille aisée, aux côtés de ses parents, Hassan et Ghita, dans un quartier huppé. Mais son enfance est loin d’être ordinaire. Doté d’une sensibilité morale et spirituelle hors du commun, il se distingue très tôt des autres enfants, une différence qui fera de sa vie un véritable cauchemar.
+++++++++++++.
En lice dans la même catégorie, le film "Le dernier silence", écrit et réalisé par Mahmoud El Asri, a également été projeté.
Ce court métrage de 10 minutes relate le parcours d’un homme solitaire qui, dans un monde en noir et blanc, découvre une mystérieuse radio. Peu à peu, les sons qu’elle diffuse réveillent en lui des émotions, des souvenirs… et la couleur.
+++++++++++++
Dans la catégorie longs métrages documentaires, "La Coshta" (62 minutes), de la réalisatrice Dounia Niouf, a été projeté.
Ce film tourne autour de "Sarghinia", une femme ambitieuse, passionnée par l’océan, qui rêve de devenir marin. Pour ce faire, elle s’appuie sur sa détermination sans faille et le soutien de Yissa, ancien chef des "Azdouz" dans le village de pêche traditionnelle de "Lassarga", fort de vingt années d’expérience entre mer et terre.
+++++++++++++
Dans la catégorie court métrages, "Les jardins du paradis" (19 minutes) de la réalisatrice et scénariste Sonia Terrab a été projeté.
Le film raconte le quotidien de Naima qui vit avec son fils Ahmed dans un bidonville, depuis la disparition de son ex-mari il y a quelques années. Lorsque l’Etat décide de les reloger, Ahmed doit changer d’école. Mais la loi est claire : seul son père peut signer les documents du transfert. Naima n’a alors d’autre choix que de partir à sa recherche.








Le Festival de Fès de la culture soufie met la musique andalouse à l'honneur
