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«The Spirit Level on stage» est l’intitulé d’un spectacle qui sera présenté le 9 juin prochain, à 20h30, au Théâtre national Mohammed V à Rabat, à l’initiative du Théâtre Anfass et Jordbro VarldsOrkester. Le thème de cette représentation, mise en scène par la talentueuse Asmaa Houri, est l’inégalité sous toutes ses formes.
Il y a une année, Asmaa Houri, l’une des plus persévérantes et des plus dynamiques metteurs en scène du pays, s’était confiée à Libé, en déclarant qu’elle était en train de développer l’idée d’un travail théâtral maroco-suédois. Promesse tenue. «The Spirit Level on stage» est donc l’œuvre d’une longue réflexion collective.
Le jeu et la mise en situation dans cette pièce mettent la lumière sur les expériences quotidiennes des hiérarchies, d’arrogance sociale, de violence, de compétitivité dans le statut social, de stress, de relations dysfonctionnelles à la maison et au travail, du déséquilibre social et économique, du manque et de l’abondance, de la santé et de la maladie… Tout un monde social dans un moule musical approprié, œuvre des compositeurs marocain Rachid Bromi et suédois Michael Vinsa.
Le spectacle dont la partie chorégraphique est signée par Louise Kvarby, véhicule trois genres artistiques. Danse, musique et théâtre seront ainsi mis de manière sensuelle et complexe, au service d’une cause, à savoir la lutte pour l’égalité.
La dramaturgie d’Issam El Yousfi et Bodil Persson met en avant un jeu complexe interprété par des comédiens marocains et suédois, tels que Nina Jeppsson, Hajar Chargui, Moa Westerlund, Jamal Nouman, José Figueroa. Une représentation qui traite la thématique des rencontres en lieu avec la sécurité, l’amitié, l’intimité et le respect mutuel. Depuis son retour au pays, Asmaa Houri qui a fondé en 2010 avec Rachid Bromi la troupe « Théâtre Anfass », ne cesse d’œuvrer inlassablement pour frayer un chemin dans les dédales du théâtre marocain. Aujourd’hui, après ses cinq prix personnels et collectifs lors de l’avant-dernière édition du Festival national de théâtre de Meknès, l’on ne peut qu’apprécier un talent qui vit, dans une symbiose rare, sa singularité et son individualité dans un contexte social.
En peu de temps, la jeune metteur en scène a pu faire montre d’une grande énergie avec la création de « Psychose 4.48», « Dmouâ Blkhol », « Nta Houa » et aujourd’hui, les férus des planches apprécieront « The Spirit Level on stage ».
Il y a une année, Asmaa Houri, l’une des plus persévérantes et des plus dynamiques metteurs en scène du pays, s’était confiée à Libé, en déclarant qu’elle était en train de développer l’idée d’un travail théâtral maroco-suédois. Promesse tenue. «The Spirit Level on stage» est donc l’œuvre d’une longue réflexion collective.
Le jeu et la mise en situation dans cette pièce mettent la lumière sur les expériences quotidiennes des hiérarchies, d’arrogance sociale, de violence, de compétitivité dans le statut social, de stress, de relations dysfonctionnelles à la maison et au travail, du déséquilibre social et économique, du manque et de l’abondance, de la santé et de la maladie… Tout un monde social dans un moule musical approprié, œuvre des compositeurs marocain Rachid Bromi et suédois Michael Vinsa.
Le spectacle dont la partie chorégraphique est signée par Louise Kvarby, véhicule trois genres artistiques. Danse, musique et théâtre seront ainsi mis de manière sensuelle et complexe, au service d’une cause, à savoir la lutte pour l’égalité.
La dramaturgie d’Issam El Yousfi et Bodil Persson met en avant un jeu complexe interprété par des comédiens marocains et suédois, tels que Nina Jeppsson, Hajar Chargui, Moa Westerlund, Jamal Nouman, José Figueroa. Une représentation qui traite la thématique des rencontres en lieu avec la sécurité, l’amitié, l’intimité et le respect mutuel. Depuis son retour au pays, Asmaa Houri qui a fondé en 2010 avec Rachid Bromi la troupe « Théâtre Anfass », ne cesse d’œuvrer inlassablement pour frayer un chemin dans les dédales du théâtre marocain. Aujourd’hui, après ses cinq prix personnels et collectifs lors de l’avant-dernière édition du Festival national de théâtre de Meknès, l’on ne peut qu’apprécier un talent qui vit, dans une symbiose rare, sa singularité et son individualité dans un contexte social.
En peu de temps, la jeune metteur en scène a pu faire montre d’une grande énergie avec la création de « Psychose 4.48», « Dmouâ Blkhol », « Nta Houa » et aujourd’hui, les férus des planches apprécieront « The Spirit Level on stage ».