
La 5ème édition du Festival Aïssaoua "Mode et Rythmes du Monde", s'est ouverte, mercredi soir, avec l’objectif de mettre en avant l’originalité et la grande portée symbolique et spirituelle de ce patrimoine marocain authentique.
Cinq associations de cet art ancestral représentant les cinq grandes capitales historiques du Royaume à savoir Rabat, Meknès, Fès, Taroudant et Marrakech ont présenté, sur la scène internationale de l’emblématique place Lahdim, un tableau haut en couleurs, interprétant certains des titres aissaouis les plus connus de cet art lié à la confrérie soufie aissaouie.
A travers des rituels, des chants, des danses et des invocations, ces groupes dits Taifas, menés par leurs Moqadems respectifs ont transporté le public du festival, venu de Meknès et sa région, dans un voyage spirituel où il a découvert l’univers singulier et enchanteur de la culture aissaouie.
Par la Suite, le public a été séduit par la performance exceptionnelle de la chanteuse maroco-irakienne Shada Hassoun qui a ouvert son concert par la célèbre chanson arabe célébrant la capitale ismaïlienne "Chouiyakh min ardi Meknès" avant d’enchainer par un florilège de ses chansons les plus connues.
Par sa voix chaleureuse et subtile, Shada Hassoun a ainsi mélangé son propre répertoire à un éventail de styles issus du Machreq, du Maghreb et du Golfe, au grand bonheur du public présent.
Dans une déclaration à la MAP, Said El Khamsi, directeur de communication et des relations institutionnelles du festival a indiqué que cette édition se démarque cette année par une programmation riche et varié avec la participation de 35 taifas des différentes régions du Royaume, ajoutant que la soirée d’ouverture a été rehaussée par la participation des groupes des cinq grandes capitales historiques du Royaume.
Il a ajouté que la spécificité de cette édition est la programmation de quatre jours sur quatre scènes couvrant l’ensemble du territoire de Meknès.
M. El Khamsi a annoncé le lancement, à l'occasion de ce festival, de l’académie du patrimoine Aissaoui (APA), une plate-forme académique et artistique pour le développement de ce patrimoine en partenariat avec des universités et des institutions concernées par le patrimoine et la culture marocaine.
Le président de l’association Meknès Culture et président exécutif du festival, Hatim Benabdelkrim a indiqué que cette édition intervient à l’occasion de la célébration de la fête du trône, ajoutant que l’objectif est de mettre en avant le patrimoine matériel et immatériel d’autant plus que la ville de Meknès est l’une des villes ayant bénéficié du programme royal de réhabilitation des médinas.
Le festival est en passe de redynamiser cette ville et ses monuments historiques sur les plans touristique et culturel, a-t-il dit, notant que la participation d’artistes étrangers de renom vise à faire rayonner cette manifestation et la capitale ismaïlienne.
Initié par le conseil régional de Fès-Meknès et l’Association Meknès Cultures, sous l’égide de la préfecture de Meknès en partenariat avec les conseils préfectoral et communal de Meknès, ce festival coïncide, selon les organisateurs, avec la réouverture des sites historiques après la fin des travaux de mise à niveau et de restauration dans le cadre du chantier de valorisation de la médina.
Cette manifestation vise à promouvoir la culture du patrimoine Aissaoui et à le présenter au public comme patrimoine d’origine Meknassi et un héritage universel.
Au menu figurent les nuits de "L’Hal Aissaoui" et des soirées sur quatre grandes scènes animées par les 35 groupes participants outre un premier sur le soufisme à Meknès.
Cinq associations de cet art ancestral représentant les cinq grandes capitales historiques du Royaume à savoir Rabat, Meknès, Fès, Taroudant et Marrakech ont présenté, sur la scène internationale de l’emblématique place Lahdim, un tableau haut en couleurs, interprétant certains des titres aissaouis les plus connus de cet art lié à la confrérie soufie aissaouie.
A travers des rituels, des chants, des danses et des invocations, ces groupes dits Taifas, menés par leurs Moqadems respectifs ont transporté le public du festival, venu de Meknès et sa région, dans un voyage spirituel où il a découvert l’univers singulier et enchanteur de la culture aissaouie.
Par la Suite, le public a été séduit par la performance exceptionnelle de la chanteuse maroco-irakienne Shada Hassoun qui a ouvert son concert par la célèbre chanson arabe célébrant la capitale ismaïlienne "Chouiyakh min ardi Meknès" avant d’enchainer par un florilège de ses chansons les plus connues.
Par sa voix chaleureuse et subtile, Shada Hassoun a ainsi mélangé son propre répertoire à un éventail de styles issus du Machreq, du Maghreb et du Golfe, au grand bonheur du public présent.
Dans une déclaration à la MAP, Said El Khamsi, directeur de communication et des relations institutionnelles du festival a indiqué que cette édition se démarque cette année par une programmation riche et varié avec la participation de 35 taifas des différentes régions du Royaume, ajoutant que la soirée d’ouverture a été rehaussée par la participation des groupes des cinq grandes capitales historiques du Royaume.
Il a ajouté que la spécificité de cette édition est la programmation de quatre jours sur quatre scènes couvrant l’ensemble du territoire de Meknès.
M. El Khamsi a annoncé le lancement, à l'occasion de ce festival, de l’académie du patrimoine Aissaoui (APA), une plate-forme académique et artistique pour le développement de ce patrimoine en partenariat avec des universités et des institutions concernées par le patrimoine et la culture marocaine.
Le président de l’association Meknès Culture et président exécutif du festival, Hatim Benabdelkrim a indiqué que cette édition intervient à l’occasion de la célébration de la fête du trône, ajoutant que l’objectif est de mettre en avant le patrimoine matériel et immatériel d’autant plus que la ville de Meknès est l’une des villes ayant bénéficié du programme royal de réhabilitation des médinas.
Le festival est en passe de redynamiser cette ville et ses monuments historiques sur les plans touristique et culturel, a-t-il dit, notant que la participation d’artistes étrangers de renom vise à faire rayonner cette manifestation et la capitale ismaïlienne.
Initié par le conseil régional de Fès-Meknès et l’Association Meknès Cultures, sous l’égide de la préfecture de Meknès en partenariat avec les conseils préfectoral et communal de Meknès, ce festival coïncide, selon les organisateurs, avec la réouverture des sites historiques après la fin des travaux de mise à niveau et de restauration dans le cadre du chantier de valorisation de la médina.
Cette manifestation vise à promouvoir la culture du patrimoine Aissaoui et à le présenter au public comme patrimoine d’origine Meknassi et un héritage universel.
Au menu figurent les nuits de "L’Hal Aissaoui" et des soirées sur quatre grandes scènes animées par les 35 groupes participants outre un premier sur le soufisme à Meknès.