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Le Festival Gnaoua et musiques du monde, prévu du 19 au 21 juin prochain à Essaouira, vient de dévoiler une nouvelle série de fusions qui marqueront cette 26ème édition.
Depuis sa création en 1998, le Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira s’est imposé comme un événement musical unique, fondé sur une tradition essentielle, celle des Maâlems Gnaoua qui, maîtres incontestés de la transe et gardiens d’un héritage ancestral, ouvrent chaque année les portes de leur art à des musiciens venus du monde entier, soulignent les organisateurs dans un communiqué.
Au cœur de cette alchimie, des fusions inédites et envoûtantes, où le Maroc entre en résonance avec les musiques du monde, de l’Afrique subsaharienne aux Amériques, de l’Europe à l’Asie, en passant par les rives méditerranéennes, ont-ils relevé, notant que ces moments de création partagée sont l’âme du festival, incarnant un esprit d’ouverture rare, où les différences se croisent, se mêlent, et donnent naissance à des œuvres intenses, généreuses et inattendues.
Après avoir levé le voile sur ses premiers temps forts, le Festival dévoile aujourd’hui une nouvelle série de fusions qui viendront marquer cette 26ème édition, ajoute la même source, précisant que d’autres concerts et moments forts seront révélés dans les prochaines semaines.
Ainsi, le public aura rendez-vous avec un concert intitulé "Groove sacré, funk sans frontières" avec Maâlem Khalid Sansi et Cimafunk.
"Artiste de Casablanca et figure montante de la scène gnaoua, Maâlem Khalid Sansi incarne le renouveau d’un art ancestral qu’il fait dialoguer avec les rythmes du monde. Issu d’une lignée gnaoua et formé très jeune auprès de son père, il forge une esthétique à la croisée du spirituel, de la danse et de la performance contemporaine. De collaborations avec Jacques Schwarz-Bart à des créations avec des danseurs ou des jazzmen africains, il multiplie les ponts entre traditions et modernité", indique la même source.
"Cette année, il remonte sur la scène du Festival Gnaoua pour un face-à-face électrique avec Cimafunk, phénomène cubain du funk afro-latin. Véritable électrochoc musical, Cimafunk dynamite la musique cubaine avec une énergie irrésistible. Héritier spirituel de James Brown, il mêle funk incandescent, rythmes afro-cubains et conscience afro-descendante dans un cocktail explosif. Une collision incandescente entre groove caribéen et transe gnaoua, portée par deux artistes en quête de libération sonore", relève le communiqué.
Les festivaliers vibreront également avec Maâlem Morad El Marjan et Dhafer Youssef, le temps d'un concert intitulé "Dialogue mystique entre deux héritages sacrés".
"Figure de la nouvelle génération gnaouie, Morad El Marjan cultive un lien profond avec l’héritage musical et spirituel des anciens, tout en s’ouvrant à de nouvelles sonorités venues d’autres univers musicaux. Né à Rabat, formé sur scène dans les festivals du Royaume, il s’est imposé par son jeu expressif, son humilité et sa volonté de transmettre", selon la même source.
"Sa rencontre avec Dhafer Youssef, maître du oud et alchimiste du jazz spirituel, s’annonce comme un moment suspendu : une conversation entre deux formes d’élévation, où les lignes du guembri dialoguent avec les envolées mystiques du oud. Originaire de Tunisie, Dhafer Youssef est aujourd’hui l’un des artistes les plus respectés de la scène musicale internationale. Inclassable, il fait dialoguer oud, jazz, chant soufi et textures électroniques avec une virtuosité rare. Collaborateur de géants comme Herbie Hancock ou Marcus Miller, il incarne une vision libre et lumineuse des musiques du monde. Cette fusion s’annonce subtile, introspective, vibrante", poursuit le communiqué.
Au menu figure également le concert "Femmes puissantes, mémoires vivantes", animé par Asmaa Hamzaoui, Bnat Timbouktou et Rokia.
"Fille du Maâlem Rachid Hamzaoui, Asmaa Hamzaoui a su, avec talent et détermination, ouvrir un espace féminin dans une tradition longtemps masculine. Avec son groupe Bnat Timbouktou, elle réinvente la tagnaouite au féminin, abordant des thèmes profonds comme l’exil, les racines et la mémoire. Sa voix grave, son jeu de guembri assuré et sa présence scénique en font une figure majeure du renouveau gnaoui", font savoir les organisateurs.
"Elle partage aujourd’hui la scène avec Rokia Koné, chanteuse malienne à la voix puissante et engagée. Venue de Ségou et surnommée +la Rose de Bamako+, Rokia Koné incarne la force des grandes voix africaines. Membre des Amazones d’Afrique, révélée au monde avec Bamanan, elle marie racines mandingues et influences modernes avec une intensité bouleversante", ajoute la même source.
Et de faire savoir que depuis ses débuts, le Festival Gnaoua a toujours mis à l’honneur les grandes voix féminines africaines, en fusion avec les Maâlems, à l’image de figures telles qu’Oumou Sangaré ou Fatoumata Diawara, notant que ce nouveau duo s’inscrit dans cette lignée, entre transmission, sororité musicale et fusion des héritages.
"En plus de leurs fusions, Cimafunk, Rokia Koné et Dhafer Youssef se produiront également en concerts individuels sur la scène Moulay El Hassan, lieu emblématique du Festival Gnaoua. Chacun d’eux livrera au public un moment fort et personnel, une immersion dans l’essence de son univers musical. Avec ces concerts, le Festival poursuit sa vocation de faire dialoguer les musiques du monde avec l’héritage gnaoui, tout en mettant en lumière les grandes figures de la création musicale contemporaine", selon la même source.
"Depuis plus de 25 ans, le Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira écrit l’histoire d’une musique sans frontières. Chaque édition est une invitation à l’échange, à l’inattendu, à l’émerveillement partagé. Plus qu’un festival, il offre une expérience collective unique et régénératrice", poursuit le communiqué, avant de conclure que d’autres annonces suivront très bientôt pour dévoiler de nouveaux temps forts et refléter toute la richesse de cette 26e édition.
Depuis sa création en 1998, le Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira s’est imposé comme un événement musical unique, fondé sur une tradition essentielle, celle des Maâlems Gnaoua qui, maîtres incontestés de la transe et gardiens d’un héritage ancestral, ouvrent chaque année les portes de leur art à des musiciens venus du monde entier, soulignent les organisateurs dans un communiqué.
Au cœur de cette alchimie, des fusions inédites et envoûtantes, où le Maroc entre en résonance avec les musiques du monde, de l’Afrique subsaharienne aux Amériques, de l’Europe à l’Asie, en passant par les rives méditerranéennes, ont-ils relevé, notant que ces moments de création partagée sont l’âme du festival, incarnant un esprit d’ouverture rare, où les différences se croisent, se mêlent, et donnent naissance à des œuvres intenses, généreuses et inattendues.
Après avoir levé le voile sur ses premiers temps forts, le Festival dévoile aujourd’hui une nouvelle série de fusions qui viendront marquer cette 26ème édition, ajoute la même source, précisant que d’autres concerts et moments forts seront révélés dans les prochaines semaines.
Ainsi, le public aura rendez-vous avec un concert intitulé "Groove sacré, funk sans frontières" avec Maâlem Khalid Sansi et Cimafunk.
"Artiste de Casablanca et figure montante de la scène gnaoua, Maâlem Khalid Sansi incarne le renouveau d’un art ancestral qu’il fait dialoguer avec les rythmes du monde. Issu d’une lignée gnaoua et formé très jeune auprès de son père, il forge une esthétique à la croisée du spirituel, de la danse et de la performance contemporaine. De collaborations avec Jacques Schwarz-Bart à des créations avec des danseurs ou des jazzmen africains, il multiplie les ponts entre traditions et modernité", indique la même source.
"Cette année, il remonte sur la scène du Festival Gnaoua pour un face-à-face électrique avec Cimafunk, phénomène cubain du funk afro-latin. Véritable électrochoc musical, Cimafunk dynamite la musique cubaine avec une énergie irrésistible. Héritier spirituel de James Brown, il mêle funk incandescent, rythmes afro-cubains et conscience afro-descendante dans un cocktail explosif. Une collision incandescente entre groove caribéen et transe gnaoua, portée par deux artistes en quête de libération sonore", relève le communiqué.
Les festivaliers vibreront également avec Maâlem Morad El Marjan et Dhafer Youssef, le temps d'un concert intitulé "Dialogue mystique entre deux héritages sacrés".
"Figure de la nouvelle génération gnaouie, Morad El Marjan cultive un lien profond avec l’héritage musical et spirituel des anciens, tout en s’ouvrant à de nouvelles sonorités venues d’autres univers musicaux. Né à Rabat, formé sur scène dans les festivals du Royaume, il s’est imposé par son jeu expressif, son humilité et sa volonté de transmettre", selon la même source.
"Sa rencontre avec Dhafer Youssef, maître du oud et alchimiste du jazz spirituel, s’annonce comme un moment suspendu : une conversation entre deux formes d’élévation, où les lignes du guembri dialoguent avec les envolées mystiques du oud. Originaire de Tunisie, Dhafer Youssef est aujourd’hui l’un des artistes les plus respectés de la scène musicale internationale. Inclassable, il fait dialoguer oud, jazz, chant soufi et textures électroniques avec une virtuosité rare. Collaborateur de géants comme Herbie Hancock ou Marcus Miller, il incarne une vision libre et lumineuse des musiques du monde. Cette fusion s’annonce subtile, introspective, vibrante", poursuit le communiqué.
Au menu figure également le concert "Femmes puissantes, mémoires vivantes", animé par Asmaa Hamzaoui, Bnat Timbouktou et Rokia.
"Fille du Maâlem Rachid Hamzaoui, Asmaa Hamzaoui a su, avec talent et détermination, ouvrir un espace féminin dans une tradition longtemps masculine. Avec son groupe Bnat Timbouktou, elle réinvente la tagnaouite au féminin, abordant des thèmes profonds comme l’exil, les racines et la mémoire. Sa voix grave, son jeu de guembri assuré et sa présence scénique en font une figure majeure du renouveau gnaoui", font savoir les organisateurs.
"Elle partage aujourd’hui la scène avec Rokia Koné, chanteuse malienne à la voix puissante et engagée. Venue de Ségou et surnommée +la Rose de Bamako+, Rokia Koné incarne la force des grandes voix africaines. Membre des Amazones d’Afrique, révélée au monde avec Bamanan, elle marie racines mandingues et influences modernes avec une intensité bouleversante", ajoute la même source.
Et de faire savoir que depuis ses débuts, le Festival Gnaoua a toujours mis à l’honneur les grandes voix féminines africaines, en fusion avec les Maâlems, à l’image de figures telles qu’Oumou Sangaré ou Fatoumata Diawara, notant que ce nouveau duo s’inscrit dans cette lignée, entre transmission, sororité musicale et fusion des héritages.
"En plus de leurs fusions, Cimafunk, Rokia Koné et Dhafer Youssef se produiront également en concerts individuels sur la scène Moulay El Hassan, lieu emblématique du Festival Gnaoua. Chacun d’eux livrera au public un moment fort et personnel, une immersion dans l’essence de son univers musical. Avec ces concerts, le Festival poursuit sa vocation de faire dialoguer les musiques du monde avec l’héritage gnaoui, tout en mettant en lumière les grandes figures de la création musicale contemporaine", selon la même source.
"Depuis plus de 25 ans, le Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira écrit l’histoire d’une musique sans frontières. Chaque édition est une invitation à l’échange, à l’inattendu, à l’émerveillement partagé. Plus qu’un festival, il offre une expérience collective unique et régénératrice", poursuit le communiqué, avant de conclure que d’autres annonces suivront très bientôt pour dévoiler de nouveaux temps forts et refléter toute la richesse de cette 26e édition.
Bouillon de culture
Spectacle
Le théâtre Riad Sultan de Tanger accueillera, le 14 mai, le spectacle "Lhlaikiya Show" de la troupe “Noujoum Al Hakye”.
Entre narration, musique, danse et théâtre, le spectacle fait renaître avec modernité et humour la “halka”, art ancestral du conte, dans une interprétation moderne et passionnée des récits qui façonnent la culture marocaine.
Concert
L’Eglise Notre Dame de l'assomption de Tanger abrite, le 17 mai, un concert du “Chœur de Chambre du Maroc”, dirigé par Amine Hadef et “Le Concert Spirituel”, l’un des ensembles baroques les plus renommés à l’échelle internationale.
Sous la direction d’Hervé Niquet, figure mondiale de la musique baroque, les deux ensembles interpréteront, sur instruments d’époque, des messes de Mozart et des pièces de Haydn.
Cette collaboration est née d’une volonté commune, celle de rassembler les talents des deux rives de la Méditerranée, de croiser leurs regards et leurs sensibilités pour partager avec le public marocain une même passion.
15 longs métrages en lice au FICAK
Quinze films représentant 12 pays seront en lice pour décrocher les prix de la compétition officielle des longs métrages à la 25ème édition du Festival international du cinéma africain de Khouribga (FICAK) qui se tiendra du 21 au 28 juin prochains sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Il s'agit de "Radia" de la réalisatrice marocaine Khoula Assebab Benomar, "Empreintes du vent" de Layla Triqui (Maroc), "Dakar Casa" d’Ahmed Boulane (Maroc), "Le pont" de Walid Mattar (Tunisie), "Story of the fall" de Karim Makram de l'Egypte, “Cinéma de minuit” de Mazen Lotfy (Egypte), “Black tea” d’Abderrahmane Sissako (Mauritanie), “The village next to paradise” de Harawe Mo (Somalie), et “Warassa / héritage” d’Aaron Padacke Zegoube (Tchad), a indiqué la Fondation du FICAK dans un communiqué.
Concourent également à cette compétition, “Mikoko/ élévation” d’Angela Aquereburu (Togo), “Umungani” de Jean Kwezi (Rwanda), “Nkinzi” de Rehema Nanfuka (Uganda), “Sanko, le rêve de Dieu” de Fousseyni Maiga du Mali, “Demba” du réalisateur sénégalais Mamadou Dia et “Ça suffit !” d’Alimata Ouedraogo représentant le Burkina Faso, selon la même source.
Selon les organisateurs, la 25ème édition sera marquée par la remise de six prix dans cette catégorie, à savoir le Grand Prix du festival baptisé Ousmane Sembene, le Prix du jury "Nour Eddine Saïl", le Prix de la mise en scène au nom du cinéaste burkinabé "Idrissa Ouedraogo", le Prix du scénario au nom de l'écrivain, journaliste et critique de cinéma égyptien "Samir Farid", le Prix du premier Rôle féminin au nom de l'actrice marocaine "Amina Rachid" et le Prix du premier Rôle masculin au nom de "Mohamed Bastaoui".
La 25ème édition du Festival international du cinéma africain de Khouribga sera organisée sous le thème "Du griot à l'algorithme, le cinéma évolue", l'occasion de plonger le public dans l’univers croisé du 7e art et de l’intelligence artificielle.
Cette édition dont la Mauritanie sera l’invitée d’honneur prévoit l’organisation d’une conférence sur le lien entre cinéma et intelligence artificielle dans le but d’appréhender les transformations profondes qui façonnent le monde.
Le jury de la compétition officielle de longs métrages sera composé de cinq membres internationaux et celui de la compétition des courts-métrages comptera trois membres internationaux.
Le FICAK, dont la première édition remonte à 1977, est considéré comme étant l’un des festivals de cinéma les plus anciens au Maroc et le troisième festival du film africain à l’échelle du continent.
Le théâtre Riad Sultan de Tanger accueillera, le 14 mai, le spectacle "Lhlaikiya Show" de la troupe “Noujoum Al Hakye”.
Entre narration, musique, danse et théâtre, le spectacle fait renaître avec modernité et humour la “halka”, art ancestral du conte, dans une interprétation moderne et passionnée des récits qui façonnent la culture marocaine.
Concert
L’Eglise Notre Dame de l'assomption de Tanger abrite, le 17 mai, un concert du “Chœur de Chambre du Maroc”, dirigé par Amine Hadef et “Le Concert Spirituel”, l’un des ensembles baroques les plus renommés à l’échelle internationale.
Sous la direction d’Hervé Niquet, figure mondiale de la musique baroque, les deux ensembles interpréteront, sur instruments d’époque, des messes de Mozart et des pièces de Haydn.
Cette collaboration est née d’une volonté commune, celle de rassembler les talents des deux rives de la Méditerranée, de croiser leurs regards et leurs sensibilités pour partager avec le public marocain une même passion.
15 longs métrages en lice au FICAK
Quinze films représentant 12 pays seront en lice pour décrocher les prix de la compétition officielle des longs métrages à la 25ème édition du Festival international du cinéma africain de Khouribga (FICAK) qui se tiendra du 21 au 28 juin prochains sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Il s'agit de "Radia" de la réalisatrice marocaine Khoula Assebab Benomar, "Empreintes du vent" de Layla Triqui (Maroc), "Dakar Casa" d’Ahmed Boulane (Maroc), "Le pont" de Walid Mattar (Tunisie), "Story of the fall" de Karim Makram de l'Egypte, “Cinéma de minuit” de Mazen Lotfy (Egypte), “Black tea” d’Abderrahmane Sissako (Mauritanie), “The village next to paradise” de Harawe Mo (Somalie), et “Warassa / héritage” d’Aaron Padacke Zegoube (Tchad), a indiqué la Fondation du FICAK dans un communiqué.
Concourent également à cette compétition, “Mikoko/ élévation” d’Angela Aquereburu (Togo), “Umungani” de Jean Kwezi (Rwanda), “Nkinzi” de Rehema Nanfuka (Uganda), “Sanko, le rêve de Dieu” de Fousseyni Maiga du Mali, “Demba” du réalisateur sénégalais Mamadou Dia et “Ça suffit !” d’Alimata Ouedraogo représentant le Burkina Faso, selon la même source.
Selon les organisateurs, la 25ème édition sera marquée par la remise de six prix dans cette catégorie, à savoir le Grand Prix du festival baptisé Ousmane Sembene, le Prix du jury "Nour Eddine Saïl", le Prix de la mise en scène au nom du cinéaste burkinabé "Idrissa Ouedraogo", le Prix du scénario au nom de l'écrivain, journaliste et critique de cinéma égyptien "Samir Farid", le Prix du premier Rôle féminin au nom de l'actrice marocaine "Amina Rachid" et le Prix du premier Rôle masculin au nom de "Mohamed Bastaoui".
La 25ème édition du Festival international du cinéma africain de Khouribga sera organisée sous le thème "Du griot à l'algorithme, le cinéma évolue", l'occasion de plonger le public dans l’univers croisé du 7e art et de l’intelligence artificielle.
Cette édition dont la Mauritanie sera l’invitée d’honneur prévoit l’organisation d’une conférence sur le lien entre cinéma et intelligence artificielle dans le but d’appréhender les transformations profondes qui façonnent le monde.
Le jury de la compétition officielle de longs métrages sera composé de cinq membres internationaux et celui de la compétition des courts-métrages comptera trois membres internationaux.
Le FICAK, dont la première édition remonte à 1977, est considéré comme étant l’un des festivals de cinéma les plus anciens au Maroc et le troisième festival du film africain à l’échelle du continent.