
Autres articles
-
Imilchil s’apprête à accueillir le Moussem des fiançailles et le Festival des musiques des cimes
-
Clôture du festival Noujoum Gnaoua
-
Festival Noujoum Gnaoua : Halima El Gourd, Moncef Bouboul, Ismail Rahil et Hamid El Kasri illuminent Casablanca
-
Plus de 800 artistes au 20ème Festival international des arts urbains
Le groupe emblématique de Britpop Oasis a lancé dimanche à Toronto la partie nord-américaine de sa grande tournée de retrouvailles, devant des fans ravis de voir les frères Gallagher se produire dans la ville canadienne pour la première fois depuis 2008.
Après une série de concerts à guichets fermés qui ont créé l'événement pendant l'été au Royaume-Uni et en Irlande les musiciens de Manchester, Liam et Noel Gallagher, réconciliés après 16 ans de brouille, vont faire le tour du monde en jouant au Canada, aux Etats-Unis, au Japon, en Australie et au Brésil.
"Les voir en live, c'était le rêve de ma vie parce que je pensais qu'ils ne se reformeraient jamais", confie à l'AFP Thunder Penir, qui porte un immense drapeau canadien avant de rentrer dans le Rogers Stadium pour le concert.
Amanda Ferraro, qui porte un t-shirt de la tournée canadienne d'Oasis en 2006, explique que c'est son groupe préféré depuis qu'elle a 13 ans. "Leurs chansons m'ont aidée à traverser beaucoup d'événements: le divorce de mes parents, beaucoup de bonnes choses, des caps dans ma vie", raconte celle qui a aujourd'hui 38 ans.
Shanon Simon, qui porte un t-shirt à l'effigie de Liam Gallagher, relève une certaine nostalgie d'une époque où un groupe comme Oasis pouvait être au sommet sans les réseaux sociaux ou le streaming.
"Quand le CD sortait et qu'on l'avait en main, ça faisait quelque chose de difficile à décrire", se souvient-elle. "Cela voulait dire aller à des concerts sans lever son téléphone en l'air".
Parmi les tubes du groupe, Irene Dolan cite "Live Forever", tiré de leur premier album "Definitely Maybe" en 1994, qui la touche particulièrement, ainsi que "Wonderwall", mégasuccès de 1995, l'une des premières chansons que sa fille a appris à jouer à la guitare: "C'est un souvenir émouvant".
Les deux frères, ex-ennemis, sont revenus sur scène début juillet, seize ans après une énième dispute et leur séparation tonitruante au Festival Rock en Seine à Paris en 2009.
Leur retour, annoncé il y a un an après des années de spéculations, électrise les fans et les critiques sont dithyrambiques sur les concerts.
"Liam assure. Je suis fier de lui", a dit Noel, 58 ans, à la radio britannique talkSport mi-août, des propos inimaginables il y a un an au sujet de son frère de 52 ans. "J'avais oublié à quel point il était drôle."
Après une série de concerts à guichets fermés qui ont créé l'événement pendant l'été au Royaume-Uni et en Irlande les musiciens de Manchester, Liam et Noel Gallagher, réconciliés après 16 ans de brouille, vont faire le tour du monde en jouant au Canada, aux Etats-Unis, au Japon, en Australie et au Brésil.
"Les voir en live, c'était le rêve de ma vie parce que je pensais qu'ils ne se reformeraient jamais", confie à l'AFP Thunder Penir, qui porte un immense drapeau canadien avant de rentrer dans le Rogers Stadium pour le concert.
Amanda Ferraro, qui porte un t-shirt de la tournée canadienne d'Oasis en 2006, explique que c'est son groupe préféré depuis qu'elle a 13 ans. "Leurs chansons m'ont aidée à traverser beaucoup d'événements: le divorce de mes parents, beaucoup de bonnes choses, des caps dans ma vie", raconte celle qui a aujourd'hui 38 ans.
Shanon Simon, qui porte un t-shirt à l'effigie de Liam Gallagher, relève une certaine nostalgie d'une époque où un groupe comme Oasis pouvait être au sommet sans les réseaux sociaux ou le streaming.
"Quand le CD sortait et qu'on l'avait en main, ça faisait quelque chose de difficile à décrire", se souvient-elle. "Cela voulait dire aller à des concerts sans lever son téléphone en l'air".
Parmi les tubes du groupe, Irene Dolan cite "Live Forever", tiré de leur premier album "Definitely Maybe" en 1994, qui la touche particulièrement, ainsi que "Wonderwall", mégasuccès de 1995, l'une des premières chansons que sa fille a appris à jouer à la guitare: "C'est un souvenir émouvant".
Les deux frères, ex-ennemis, sont revenus sur scène début juillet, seize ans après une énième dispute et leur séparation tonitruante au Festival Rock en Seine à Paris en 2009.
Leur retour, annoncé il y a un an après des années de spéculations, électrise les fans et les critiques sont dithyrambiques sur les concerts.
"Liam assure. Je suis fier de lui", a dit Noel, 58 ans, à la radio britannique talkSport mi-août, des propos inimaginables il y a un an au sujet de son frère de 52 ans. "J'avais oublié à quel point il était drôle."