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Il ne voulait que faire plaisir aux enfants mais le voici embourbé dans une véritable bataille juridique. Michael Chorba, 60 ans, vit dans la ville de Berwick, dans l’Etat de Pennsylvanie (États-Unis). Et il a une passion peu commune : rénover des anciens manèges de parcs d’attractions pour gâter ses petits-enfants. « Ils adorent ça, je le fais pour eux. Les souvenirs, ça n’a pas de prix », s’émerveille-t-il auprès du média local américain ABC27 .
Dans son jardin, plusieurs manèges cohabitent. Depuis 2023, Michael Chorba remet notamment au goût du jour une vieille montagne russe. «Nous l’avons entièrement démonté, dégraissé, repeint, installé de nouveaux sièges et de nouvelles ferrures en acier inoxydable », explique-t-il.
Mais la rénovation de ce manège ne plaît pas aux autorités locales, qui jugent illégale une telle installation. Michael Chorba est bien le propriétaire du terrain, or, il est classé en zone agricole. Une audience a eu lieu pour statuer sur le sort des manèges : celle-ci a jugé que l’installation contrevenait bien à la loi et qu’il fallait procéder à son enlèvement. Mais un recours a été déposé par Michael Chorba et la procédure d’appel est toujours en cours. « Si je n’obtiens pas gain de cause, j’aurai une amende et je devrais essayer de démonter le manège et de trouver un nouvel acheteur», s’émeut Michael Chorba, qui peut s’appuyer sur la solidarité de la communauté locale. Un groupe Facebook a même été créé pour le soutenir.
Dans son jardin, plusieurs manèges cohabitent. Depuis 2023, Michael Chorba remet notamment au goût du jour une vieille montagne russe. «Nous l’avons entièrement démonté, dégraissé, repeint, installé de nouveaux sièges et de nouvelles ferrures en acier inoxydable », explique-t-il.
Mais la rénovation de ce manège ne plaît pas aux autorités locales, qui jugent illégale une telle installation. Michael Chorba est bien le propriétaire du terrain, or, il est classé en zone agricole. Une audience a eu lieu pour statuer sur le sort des manèges : celle-ci a jugé que l’installation contrevenait bien à la loi et qu’il fallait procéder à son enlèvement. Mais un recours a été déposé par Michael Chorba et la procédure d’appel est toujours en cours. « Si je n’obtiens pas gain de cause, j’aurai une amende et je devrais essayer de démonter le manège et de trouver un nouvel acheteur», s’émeut Michael Chorba, qui peut s’appuyer sur la solidarité de la communauté locale. Un groupe Facebook a même été créé pour le soutenir.