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La ville des provinces du Sud a désormais vocation à devenir "un hub économique entre l’Europe et l’Afrique", souligne le journal économique et financier français, mettant en avant les liens croissants entre Rabat et Paris et la dynamique impulsée par le Partenariat d'exception renforcé entre les deux pays.
Le média rappelle, dans ce contexte, que cette dynamique a été illustrée notamment par la rencontre de haut niveau organisée début octobre à Dakhla par la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le Mouvement des entreprises de France (MEDEF), à travers le Club des chefs d’entreprise France-Maroc.
Pour les organisateurs et les 40 entrepreneurs venus spécialement de Paris, "le choix de Dakhla n’est certainement pas fortuit", note la publication, ajoutant que la ville fait partie d’une région qui bénéficie aujourd’hui d’un important programme d’investissements publics, avec à la clé la création d’infrastructures, d’une route express, de parcs industriels, de zones logistiques et de plateformes énergétiques, rapporte la MAP.
La future métropole du sud du Royaume se distingue également par son potentiel énergétique (solaire et éolien), observe la publication, mettant également en relief la future station de dessalement d’eau de mer qui sera alimentée par les énergies renouvelables.
"Mais, l’infrastructure géostratégique dont peut déjà s’enorgueillir la région est certainement le port atlantique de Dakhla", d'après l'auteur de l'article.
"Pensée pour relier le Maroc à l’Europe, à l’Afrique de l’Ouest et aux Amériques, cette future mégastructure portuaire est associée à l’Initiative Royale Atlantique dont l’objectif est de renforcer la coopération Sud-Sud et plus particulièrement d’offrir aux pays du Sahel, comme le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad un accès vital à la mer, l’enclavement étant un obstacle majeur à leur croissance économique", fait valoir la publication.
Le projet du futur port fait partie d’un programme intégré de la région visant la réalisation du port avec les infrastructures de connectivité y afférentes (pont maritime et route), la mise en place d’un parc d’activités industrielles halieutiques et le développement d’une nouvelle zone industrielle et logistique à proximité du port, poursuit "La Tribune".
Le port de Dakhla Atlantique est également annoncé comme un important maillon de la stratégie nationale marocaine pour l’hydrogène vert, puisqu’il permettra le transport à grande échelle de l’hydrogène vert et de ses dérivés (comme l’ammoniac vert ou le méthanol vert) vers les marchés internationaux (notamment l’Europe, qui accélère sa décarbonation), souligne le média, ajoutant que plusieurs consortiums ont déjà choisi Dakhla pour leurs mégaprojets d’hydrogène vert ou d’ammoniac vert.










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