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Le 31 octobre 2025 n’est pas une date comme les autres. C’est le jour où la diplomatie marocaine a transformé la patience en victoire, la légitimité en reconnaissance, et la souveraineté en évidence.
En cette matinée du vendredi, les Marocains n’ont pas célébré une simple résolution du Conseil de sécurité, mais la consécration d’une vérité historique : le Sahara est marocain, par le droit, par l’histoire, par la volonté du peuple et la vision du Roi.
Ce n’est plus une cause à défendre, c’est une certitude internationale.
Et dans cette victoire, il y a la marque d’un leadership singulier : celui d’un Roi stratège qui, sans tapage, a redéfini les équilibres régionaux et diplomatiques.
L’Union socialiste et la nation : la souveraineté comme projet de société
Fidèle à sa pensée fondatrice, l’Union socialiste des forces populaires n’a jamais considéré la question du Sahara comme une simple affaire de frontières, mais comme une question de justice et de progrès.
Défendre l’intégrité territoriale, c’est affirmer un modèle d’Etat fort, socialement équilibré et politiquement souverain.
C’est refuser la dépendance sous toutes ses formes — économique, culturelle ou diplomatique — et affirmer un Maroc qui décide pour lui-même, au nom de tous.
Ainsi, la Cause nationale devient aussi un manifeste politique : un Maroc qui unit la souveraineté du territoire à celle de la dignité citoyenne.
L’autonomie : de la proposition à la doctrine d’Etat
En 2007, le Maroc proposait une solution visionnaire : l’autonomie sous souveraineté marocaine.
Dix-huit ans plus tard, cette proposition est devenue une doctrine diplomatique mondiale, saluée par la majorité des Etats et entérinée par les Nations Unies.
Le Conseil de sécurité, en adoptant la résolution du 31 octobre 2025, a franchi une étape historique :
En confirmant que le Maroc exerce pleinement sa souveraineté sur ses provinces du Sud et en écartant définitivement toute illusion séparatiste.
Le réalisme a remplacé la fiction, et le droit a mis fin à la manipulation.
Ce jour-là, le Maroc n’a pas négocié sa souveraineté — il l’a imposée par la constance et la cohérence.
Mohammed VI : l’art de vaincre sans crier victoire
Depuis vingt-six ans, Sa Majesté le Roi Mohammed VI construit une diplomatie de fond, patiente et efficace, qui préfère les résultats aux slogans.
Là où d’autres s’agitent, le Maroc avance. Là où d’autres crient, il convainc.
Cette diplomatie du silence est devenue la signature du Royaume : elle s’exprime dans les couloirs de l’ONU, dans les capitales africaines, dans les chancelleries européennes.
C’est une diplomatie de la raison, pas de la réaction; du concret, pas du calcul électoral.
Le Maroc ne réclame pas — il démontre. Il ne quémande pas — il construit.
Et c’est ainsi qu’il a fini par imposer le respect, non la peur.
Le Sahara marocain : laboratoire du développement et vitrine de la stabilité
Sous l’impulsion Royale, le Sahara est passé du champ diplomatique au chantier national.
Routes, ports, universités, parcs solaires, zones franches, et projets industriels : la souveraineté s’y vit, se touche, se prouve.
Le modèle de développement des provinces du Sud est le miroir du Maroc qui vient — celui qui relie le patriotisme à la performance, et l’unité nationale à la justice territoriale.
Ce que les adversaires appelaient “territoire contesté” est devenu un territoire d’avenir.
La paix, ici, ne se décrète pas — elle se construit, chaque jour, dans les écoles, les usines et les ports du Sud.
Un basculement mondial : du scepticisme à l’adhésion
Depuis la reconnaissance américaine de décembre 2020, le monde a changé de regard sur la question du Sahara.
Plus de cent pays soutiennent désormais la proposition marocaine, plus de trente consulats ont ouvert à Laâyoune et Dakhla, et l’écrasante majorité des Etats membres de l’ONU ne reconnaissent plus le pseudo-Etat fantôme.
C’est un renversement diplomatique d’ampleur historique, fruit d’un travail patient, constant et coordonné.
Dans cette dynamique, le Maroc n’est plus un pays qui attend la reconnaissance : il la fabrique.
Le Maroc du XXIᵉ siècle : puissance tranquille et acteur global
Le Maroc d’aujourd’hui ne réagit plus, il agit.
Il ne subit plus la mondialisation, il la façonne.
Sous le règne du Roi Mohammed VI, le Royaume s’est affirmé comme un acteur global, articulant souveraineté nationale et coopération régionale.
De Rabat à Bruxelles, de Dakar à Washington, la voix du Maroc est désormais celle d’un pays qui assume sa place, défend son modèle, et inspire la stabilité.
Cette puissance tranquille, enracinée dans la légitimité historique et projetée vers l’avenir, fait du Maroc une force d’équilibre dans un monde en désordre.
En cette matinée du vendredi, les Marocains n’ont pas célébré une simple résolution du Conseil de sécurité, mais la consécration d’une vérité historique : le Sahara est marocain, par le droit, par l’histoire, par la volonté du peuple et la vision du Roi.
Ce n’est plus une cause à défendre, c’est une certitude internationale.
Et dans cette victoire, il y a la marque d’un leadership singulier : celui d’un Roi stratège qui, sans tapage, a redéfini les équilibres régionaux et diplomatiques.
L’Union socialiste et la nation : la souveraineté comme projet de société
Fidèle à sa pensée fondatrice, l’Union socialiste des forces populaires n’a jamais considéré la question du Sahara comme une simple affaire de frontières, mais comme une question de justice et de progrès.
Défendre l’intégrité territoriale, c’est affirmer un modèle d’Etat fort, socialement équilibré et politiquement souverain.
C’est refuser la dépendance sous toutes ses formes — économique, culturelle ou diplomatique — et affirmer un Maroc qui décide pour lui-même, au nom de tous.
Ainsi, la Cause nationale devient aussi un manifeste politique : un Maroc qui unit la souveraineté du territoire à celle de la dignité citoyenne.
L’autonomie : de la proposition à la doctrine d’Etat
En 2007, le Maroc proposait une solution visionnaire : l’autonomie sous souveraineté marocaine.
Dix-huit ans plus tard, cette proposition est devenue une doctrine diplomatique mondiale, saluée par la majorité des Etats et entérinée par les Nations Unies.
Le Conseil de sécurité, en adoptant la résolution du 31 octobre 2025, a franchi une étape historique :
En confirmant que le Maroc exerce pleinement sa souveraineté sur ses provinces du Sud et en écartant définitivement toute illusion séparatiste.
Le réalisme a remplacé la fiction, et le droit a mis fin à la manipulation.
Ce jour-là, le Maroc n’a pas négocié sa souveraineté — il l’a imposée par la constance et la cohérence.
Mohammed VI : l’art de vaincre sans crier victoire
Depuis vingt-six ans, Sa Majesté le Roi Mohammed VI construit une diplomatie de fond, patiente et efficace, qui préfère les résultats aux slogans.
Là où d’autres s’agitent, le Maroc avance. Là où d’autres crient, il convainc.
Cette diplomatie du silence est devenue la signature du Royaume : elle s’exprime dans les couloirs de l’ONU, dans les capitales africaines, dans les chancelleries européennes.
C’est une diplomatie de la raison, pas de la réaction; du concret, pas du calcul électoral.
Le Maroc ne réclame pas — il démontre. Il ne quémande pas — il construit.
Et c’est ainsi qu’il a fini par imposer le respect, non la peur.
Le Sahara marocain : laboratoire du développement et vitrine de la stabilité
Sous l’impulsion Royale, le Sahara est passé du champ diplomatique au chantier national.
Routes, ports, universités, parcs solaires, zones franches, et projets industriels : la souveraineté s’y vit, se touche, se prouve.
Le modèle de développement des provinces du Sud est le miroir du Maroc qui vient — celui qui relie le patriotisme à la performance, et l’unité nationale à la justice territoriale.
Ce que les adversaires appelaient “territoire contesté” est devenu un territoire d’avenir.
La paix, ici, ne se décrète pas — elle se construit, chaque jour, dans les écoles, les usines et les ports du Sud.
Un basculement mondial : du scepticisme à l’adhésion
Depuis la reconnaissance américaine de décembre 2020, le monde a changé de regard sur la question du Sahara.
Plus de cent pays soutiennent désormais la proposition marocaine, plus de trente consulats ont ouvert à Laâyoune et Dakhla, et l’écrasante majorité des Etats membres de l’ONU ne reconnaissent plus le pseudo-Etat fantôme.
C’est un renversement diplomatique d’ampleur historique, fruit d’un travail patient, constant et coordonné.
Dans cette dynamique, le Maroc n’est plus un pays qui attend la reconnaissance : il la fabrique.
Le Maroc du XXIᵉ siècle : puissance tranquille et acteur global
Le Maroc d’aujourd’hui ne réagit plus, il agit.
Il ne subit plus la mondialisation, il la façonne.
Sous le règne du Roi Mohammed VI, le Royaume s’est affirmé comme un acteur global, articulant souveraineté nationale et coopération régionale.
De Rabat à Bruxelles, de Dakar à Washington, la voix du Maroc est désormais celle d’un pays qui assume sa place, défend son modèle, et inspire la stabilité.
Cette puissance tranquille, enracinée dans la légitimité historique et projetée vers l’avenir, fait du Maroc une force d’équilibre dans un monde en désordre.
La victoire du temps long
Le 31 octobre 2025 ne marque pas la fin d’un conflit, mais le triomphe d’une méthode et d’une vision.
C’est la victoire du temps long sur l’improvisation, de la sagesse sur la précipitation, du travail sur la parole.
Le Maroc, guidé par son Roi, a prouvé que la souveraineté se conquiert par la constance et se consolide par la confiance.
Aujourd’hui, la diplomatie marocaine n’est plus défensive — elle est exemplaire.
Et l’Histoire retiendra que le Royaume, sans jamais renier sa sérénité, a su imposer sa vérité.
Par Abdessalam El Massaoui
Le 31 octobre 2025 ne marque pas la fin d’un conflit, mais le triomphe d’une méthode et d’une vision.
C’est la victoire du temps long sur l’improvisation, de la sagesse sur la précipitation, du travail sur la parole.
Le Maroc, guidé par son Roi, a prouvé que la souveraineté se conquiert par la constance et se consolide par la confiance.
Aujourd’hui, la diplomatie marocaine n’est plus défensive — elle est exemplaire.
Et l’Histoire retiendra que le Royaume, sans jamais renier sa sérénité, a su imposer sa vérité.
Par Abdessalam El Massaoui









L’autonomie marocaine