-
Participation du Maroc à la 2ème réunion sur la stratégie arabe de l’éducation aux médias
-
Adoption de la Déclaration de Praia
-
Omar Hilale co-préside à New York le Forum de l'ECOSOC sur la science, la technologie et l'innovation
-
Des diplomates étrangers s'informent de la dynamique de développement à Dakhla-Oued Eddahab
Le bilan n’a heureusement pu être aussi lourd que celui de l’ancienne mosquée de Meknès, sachant que la mosquée de Zayo, nommée Al-Amal, a été fermée devant les fidèles pour les besoins de réfection. «La coupole de cette mosquée était en cours de réfection au moment de son effondrement», relèvent les autorités locales, qui déplorent des victimes parmi les ouvriers à pied d’œuvre au moment de l’incident. Selon les mêmes autorités, au-delà de la regrettable mort d’un ouvrier, seul l’état d’un blessé inspirerait l’inquiétude. Ce dernier présenterait une fracture crânienne, alors que les jours des deux autres blessés ne seraient pas en danger.
Auprès du ministère de l’Intérieur, on apprend qu’une enquête sera ouverte pour élucider les causes et les circonstances dans lesquelles s’est effondrée la coupole de la mosquée de Zayo. Sur ce point, des responsables des autorités locales ont affirmé, samedi, que la réfection de cette mosquée n’avait bénéficié d’aucune autorisation de la part de la préfecture de Nador. Seulement voilà, «ces autorités n’étaient-elles pas au courant des travaux de réfection?», objectent des sources proches des familles des victimes. «Pourquoi n’étaient-elles pas intervenues pour stopper ces travaux de réfection », se demandent-elles encore, espérant que l’enquête ordonnée par l’autorité de tutelle permettra à « préserver les intérêts des victimes et de leurs ayants-droit».