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"Dans notre métier, quand on débute une saison, et même si ça ne commence pas très bien, on dispose de six mois. Mais si on arrive en octobre et que l'équipe est dans une très mauvaise position, on n'a que trois mois", a confié, au sujet d'Henry, Wenger à Monaco en marge des Laureus Awards.
"Parce qu'en janvier, tout le monde devient nerveux et s'inquiète en se disant que les choses pourraient vraiment mal tourner. C'est ce qui est arrivé à Thierry (à Monaco) et la manière dont il va rebondir sera cruciale", a-t-il poursuivi.
"Il a les qualités nécessaires et le désir de faire carrière comme entraîneur. Une carrière (d'entraîneur) se juge sur une période plus longue. J'ai commencé la mienne à 33 ans, j'étais entouré de beaucoup de gens très prometteurs", a ajouté l'Alsacien.
"Beaucoup d'entre eux ont disparu, d'autres ont survécu. Pourquoi ? Il faut de la réussite, il faut travailler dur, mais c'est très différent de prévoir la carrière d'un manager, car on dépend beaucoup de la qualité des joueurs, des clubs, et de la confiance qu'on nous donne", a-t-il analysé.
"Je pense qu'ils ont tous les deux (Henry et Vieira) les qualités nécessaires et qu'ils vont faire une belle carrière. Je suis heureux aussi de voir qu'ils peuvent continuer à partager notre sport avec d'autres gens, et participer au développement de nouveaux joueurs", a conclu Wenger.
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