-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Cette élection a eu lieu lors de la troisième session de l'Assemblée générale des Etats parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tenue du 22 au 24 juin à la Maison de l'Unesco à Paris, ajoute-t-on de même source.
Le Comité, dont le Maroc est désormais membre, a pour fonction notamment de promouvoir les objectifs de la Convention, encourager et assurer le suivi de sa mise en œuvre et donner des conseils sur les meilleures pratiques.
Il s'atèle aussi à formuler des recommandations sur les mesures à entreprendre en faveur de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, préparer et soumettre à l'approbation de l'Assemblée générale des directives opérationnelles dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention.
Ce Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel examine également les demandes présentées par les Etats parties et décide, conformément aux règles en vigueur, des inscriptions sur la Liste du patrimoine immatériel nécessitant une sauvegarde urgente et la Liste représentative, ainsi que de l'octroi de l'assistance internationale.
Le Maroc compte plusieurs biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial culturel dont Ksar d'Aït-Ben-Haddou (1987), Médina de Fès (1981), Médina de Marrakech (1985), Médina de Tétouan (ancienne Titawin) (1997), Médina d'Essaouira (ancienne Mogador) (2001), Site archéologique de Volubilis (1997), Ville historique de Meknès (1996) et la Cité portugaise de Mazagan (El Jadida) (2004).