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En plus des diplomates de carrière et de politiques partisans, un nouveau profil se dégage. Désormais, des militants des droits de l’Homme sont envoyés comme diplomates dans des capitales qui pèsent sur le dossier de la cause nationale.
2016 a vu la diplomatie marocaine cultiver une vocation offensive et innovante, concrétisée par un mouvement diplomatique jamais égalé de par le nombre d'ambassadeurs, chargés de relever les défis dans un environnement régional et international en perpétuelle mutation.
Ainsi, 65 ambassadeurs ont été affectés dans plusieurs capitales du monde et quatre autres à l'administration centrale du ministère des Affaires étrangères, le but étant de représenter dignement le pays et défendre ses intérêts supérieurs.
En février dernier, S.M le Roi Mohammed VI a présidé, depuis Laâyoune, un Conseil des ministres historique au cours duquel le Souverain a procédé à la nomination de plusieurs ambassadeurs.
Un remaniement en profondeur de l’appareil diplomatique dans le cadre d'un mouvement d'ambassadeurs, le plus marquant de l’histoire contemporaine du Maroc.
"La politique extérieure de notre pays s'appuie sur la diplomatie de la parole et de l’acte, tant en ce qui concerne la défense de la marocanité du Sahara que pour ce qui est de la diversification des partenariats ou de l’implication dans les questions et les problématiques internationales d’actualité", avait, par ailleurs, souligné le Souverain dans un discours à l'occasion du 17ème anniversaire de la Fête du Trône.