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					 Une bactérie pourrait contribuer à réduire la transmission de maladies tropicales par les moustiques, comme la dengue et le chikungunya, en renforçant la résistance des insectes, selon une étude dont les résultats ont été révélés à Chicago (USA) par son principal auteur, Scott O'Neill, de l'Université du Queensland d'Australie.Des moustiques contaminés à l'aide de cette bactérie, la wolbachia, extraite à partir de mouches, se sont avérés plus résistants à la dengue et au chikungunya, ainsi qu'à une forme de paludisme aviaire, selon les auteurs de ces travaux. 
En plus des effets connus de la wolbachia sur la santé des moustiques, les résultats des nouveaux travaux montrent que "nous pourrions obtenir un impact majeur sur les maladies", a déclaré Scott O'Neill.
La dengue, une maladie contre laquelle n'existe aucun vaccin, tue 40.000 personnes dans le monde chaque année et contamine 50 millions d'autres.
Le chikungunya n'est normalement pas mortel mais il se manifeste par des symptômes similaires à ceux de la dengue (nausées, épuisement).
M. O'Neill et son équipe travaillent sur les moyens de transmettre la bactérie aux moustiques en laboratoire et de les relâcher dans la nature afin de généraliser l'infection parmi la population des insectes.
Si des tests en intérieur sont réussis, "nous effectuerons des essais en plein air d'ici un à deux ans", a indiqué le chercheur.
La wolbachia est très répandue dans la nature : elle est présente dans 60% des espèces d'insectes.
				 
			 En plus des effets connus de la wolbachia sur la santé des moustiques, les résultats des nouveaux travaux montrent que "nous pourrions obtenir un impact majeur sur les maladies", a déclaré Scott O'Neill.
La dengue, une maladie contre laquelle n'existe aucun vaccin, tue 40.000 personnes dans le monde chaque année et contamine 50 millions d'autres.
Le chikungunya n'est normalement pas mortel mais il se manifeste par des symptômes similaires à ceux de la dengue (nausées, épuisement).
M. O'Neill et son équipe travaillent sur les moyens de transmettre la bactérie aux moustiques en laboratoire et de les relâcher dans la nature afin de généraliser l'infection parmi la population des insectes.
Si des tests en intérieur sont réussis, "nous effectuerons des essais en plein air d'ici un à deux ans", a indiqué le chercheur.
La wolbachia est très répandue dans la nature : elle est présente dans 60% des espèces d'insectes.
 
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					 


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