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Il a cependant été donné au public de constater la jolie métamorphose des Rouges durant les trois dernières journées. Au-delà des 7 points sur les 9 possibles, c’est la manière qui a séduit. Preuve que le meilleur effectif du championnat avait besoin de la touche Fakherdine ou de tout entraîneur qui ne ligote pas ses joueurs et qui soit capable de supporter la grosse pression des matchs décisifs de fin de saison. Heureusement pour le WAC et pour les Wydadis que le changement a eu lieu juste à temps.
Ce douzième titre des Rouges n’a pas manqué d’affecter les Verts. Mais ceux-ci méritaient-ils de l’emporter avec tous les ratages enregistrés en cette fin de saison, à l’image du dernier match contre les FAR où ils étaient pâles et trop peu inspirés ?
Quand on cherche à faire une superstar d’un joueur fiché dans tous les commissariats de la métropole pour ses tristes virées nocturnes, quand on continue à compter sur des joueurs qui ont souillé la réputation du grand Raja et du football national à Lusaka, c’est qu’on ne mérite sûrement pas d’être sacré champion. Le troisième du lot, le DHJ, a sorti une saison époustouflante. Mais il lui fallait beaucoup plus de sérénité pour réussir le sprint final. C’est faire preuve d’une triste improvisation d’amateurs que de se séparer de son entraîneur vers la fin pour confier son sort à quelque mystérieux sauveur.
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