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D’emblée, à la lecture des premières lignes du roman, Boussel place le lecteur sous tension, transi par une peur qui ne le lâche plus, de façon à ce qu’il soit inquiet à l’idée de ce qui pourrait arriver à l’héro dans la suite du récit : “La première année, j’ai dormi les yeux ouverts. Le repos ne voulait plus de moi. Je marchais pieds nus sur les tomettes de la villa Nejma, errant dans l’immensité de pièces désertes”. Il faut dire aussi que le style d’écriture de l’auteur qui donne l’impression de ralenti, les phrases courtes, par moments incisives, y sont pour beaucoup dans l’interprétation de ce rythme soutenu apparenté au roman à suspense. Pour écrire ce roman, l’auteur a puisé dans l’actualité internationale dominée ces quinze dernières années par les problématiques liées au terrorisme et contreterrorisme, devenues le champ d’activité des services. Boussel s’est inspiré également de rencontres, interviews, confidences et relations amicales et cordiales qu’il a approfondies avec le temps.









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