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“Les confessions de l’ombre” est l’intitulé du roman thriller que vient de publier Pierre Boussel, journaliste chroniqueur de politique étrangère à Radio Méditerranée internationale (Médi1), aux éditions “KERO”. Cette œuvre de fiction, qui sort en librairie le 11 février prochain, suit les traces de Bastien Hernandez, officiellement économiste de son état, mais en réalité un agent dormant des services secrets français en poste au Maroc. Le personnage mène une vie tranquille dans une villa située sur les hauteurs de Tanger, jusqu’au jour où il voit son quotidien chamboulé par un attentat qui frappe New York. Les services de renseignements sont placés en alerte maximum. Un banal prospectus est glissé dans la boîte aux lettres de Hernandez : l’agent dormant qu’il était, se trouve réveillé. Hernandez reçoit la mission de surveiller une communauté évangéliste américaine aux agissements suspects.
D’emblée, à la lecture des premières lignes du roman, Boussel place le lecteur sous tension, transi par une peur qui ne le lâche plus, de façon à ce qu’il soit inquiet à l’idée de ce qui pourrait arriver à l’héro dans la suite du récit : “La première année, j’ai dormi les yeux ouverts. Le repos ne voulait plus de moi. Je marchais pieds nus sur les tomettes de la villa Nejma, errant dans l’immensité de pièces désertes”. Il faut dire aussi que le style d’écriture de l’auteur qui donne l’impression de ralenti, les phrases courtes, par moments incisives, y sont pour beaucoup dans l’interprétation de ce rythme soutenu apparenté au roman à suspense. Pour écrire ce roman, l’auteur a puisé dans l’actualité internationale dominée ces quinze dernières années par les problématiques liées au terrorisme et contreterrorisme, devenues le champ d’activité des services. Boussel s’est inspiré également de rencontres, interviews, confidences et relations amicales et cordiales qu’il a approfondies avec le temps.
D’emblée, à la lecture des premières lignes du roman, Boussel place le lecteur sous tension, transi par une peur qui ne le lâche plus, de façon à ce qu’il soit inquiet à l’idée de ce qui pourrait arriver à l’héro dans la suite du récit : “La première année, j’ai dormi les yeux ouverts. Le repos ne voulait plus de moi. Je marchais pieds nus sur les tomettes de la villa Nejma, errant dans l’immensité de pièces désertes”. Il faut dire aussi que le style d’écriture de l’auteur qui donne l’impression de ralenti, les phrases courtes, par moments incisives, y sont pour beaucoup dans l’interprétation de ce rythme soutenu apparenté au roman à suspense. Pour écrire ce roman, l’auteur a puisé dans l’actualité internationale dominée ces quinze dernières années par les problématiques liées au terrorisme et contreterrorisme, devenues le champ d’activité des services. Boussel s’est inspiré également de rencontres, interviews, confidences et relations amicales et cordiales qu’il a approfondies avec le temps.