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Mohamed Hassana Abdelouaheb avait disparu depuis le 18 mai alors que le Polisario était en pleine préparation pour la commémoration du soi-disant anniversaire du lancement de son supposée action armée à Tifirati.
Ce recours aux proches intervient juste après la diffusion sur Internet d’une communication téléphonique entre Hassana et l’un de ses cousins, dans laquelle l’officier se défend d’avoir détourné 100.000 dinars algériens, comme cela a été relayé par des médias proches du mouvement de Brahim Ghali. «Ils ont les registres, c’est à eux de les réviser», a-t-il dit.
En revanche, ce militaire qui avait la charge du dossier des aides internationales avant sa disparition, a pointé du doigt la direction du Polisario, l’accusant d’être «en faillite».
Encore indécis sur sa prochaine destination, Hassanna a confié à son proche: «Je veux que la décision que je vais prendre ne porte préjudice à personne.»
Outre l’option de rentrer au Maroc, il pourrait frapper à la porte de la délégation du Haut-commissariat aux réfugiés à Nouakchott afin de solliciter une carte de réfugié, sésame à même de lui assurer une résidence dans un pays européen afin de démarrer une nouvelle vie. A moins que sa fuite ne soit animée par des projets politiques.