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Le ministre a tout faux
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Parfaite convergence de vues entre Rabat et Brasilia
Dénoncer, condamner, s’indigner. Ce n’est point siffisant. Les démocrates du royaume, à tous les niveaux, doivent, plus que jamais, mettre la main dans la main. L’heure est à l’union. Le programme est clair : Repousser la contre-révolution, d’où qu’elle vienne. La détermination devrait être affichée. Partis politiques, syndicats, société civile, mouvements sociaux, ont désormais une seule mission : préserver le climat sain qui marque le débat sociétal sur l’avenir constitutionnel, social, économique et politique du pays. Une seule direction : garder le cap en avant. Le choix de Marrakech et la célèbre place Jamaâ El Fna n’est pas fortuit. Les forces rétrogrades n’ont pas pu résister à ce chemin sérieux et surtout mature qu’a parcouru la société dans toutes ses composantes et à tous les niveaux. Alors que le peuple a choisi de manifester pacifiquement et de clamer ses revendications. Alors que le Roi a apporté de clairvoyantes propositions en matière de réformes constitutionnelles. Alors que d’importantes décisions ont été prises : CNDH, CES, libération des détenus politiques, un contre-programme politique est né des cendres de la réaction. Son objectif est de contrecarrer le mouvement, d’agir à reculons. Le peuple est décidé. Et d’une seule voix, il dénonce l’abjet et la barbarie. D’une seule voix, il dit : No pasaran.