-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP

L-M, rappelle-t-on, est l’une des personnes actives contre le renouvellement par la commune rurale de Smiâa d’un contrat permettant à un investisseur français d’exploiter la zone du barrage Bablouta, à cause des méfaits de cette exploitation sur les populations locales. Depuis plus de deux ans, les paysans de cette zone appellent les autorités compétentes à ne plus renouveler le contrat avec l’exploitant de cette zone hydro-forestière. Auparavant, ils avaient mené des actions en signant notamment une pétition, en observant des sit-in et en organisant des marches. Et pour cause, ils souffrent de la multiplication des sangliers qui endommagent leurs récoltes, seul revenu fixe pour ces habitants. L’exploitant de cette zone estimée à des centaines d’hectares, empêche également les habitants d’abreuver leur bétail. Les population qui se trouvent enclavées de la sorte, souffrent le martyre. Et dire que ladite exploitation était censée profiter à ces mêmes populations!. Pour nombre d’acteurs associatifs, l’action menée par les populations, LM en particilier, serait à l’origine de cette lettre anonyme. Il revient donc aux autorités remonter la piste de ce corbeau.